Guylaine Plourde, enseignante de 6e année à la Commission scolaire du Chemin-du-Roy, nous parle de sa participation aux travaux du LAB-École portant sur le projet de la municipalité de Maskinongé, en Mauricie.
Texte par Alexane St-Amant Ringuette
Nous avons rencontré Guylaine à l’occasion du 37e colloque de l’AQUOPS, en avril 2019.
Depuis le début de l’année scolaire 2018-2019, Guylaine a eu la chance de participer aux rencontres et au comité de réflexion du LAB-École qui sera mis sur pied dans sa commission scolaire, un projet qu’elle qualifie de passionnant.
Dans cette entrevue, elle rappelle que les écoles sont des bâtiments vieillissants, construits dans les années 1950, et que les enseignants font du mieux qu’ils peuvent pour faire vivre de belles choses à leurs élèves malgré les petits locaux et le peu de possibilités physiques. Le projet LAB-École permettra de mettre au service des jeunes, du personnel et de la communauté une architecture permettant une plus grande luminosité, des espaces propices au développement des habiletés motrices et offrant des aires d’apprentissage dynamiques.
C’est avec l’aide de nombreux collaborateurs répartis sur tout le territoire québécois que sept grands projets de LAB-École prennent maintenant vie. Ils prendront forme dans les villes suivantes : Gatineau, Maskinongé, Montréal, Québec, Rimouski, Shefford et Saguenay. Repenser l’école de demain se fera sous trois axes importants : l’environnement physique, un mode de vie sain et actif et le développement d’une saine alimentation. Et tout cela dans un seul but : favoriser le développement des jeunes dans des milieux de vie agréables.
« Tout changement apporte quelque chose de stressant, mais aussi quelque chose dont on a besoin et dont on va être tellement fier! »
– GUYLAINE PLOURDE
Pour être acteur dans ce vent de changement en éducation, Guylaine Plourde vous invite à suivre les projets LAB-École.
Écoutez maintenant l’entrevue réalisée avec elle au sujet de ce projet qui la passionne! De plus, étant une enseignante qui travaille avec les TIC depuis plus de dix ans, elle y soulève un point qui devrait être au cœur des questionnements de l’école d’aujourd’hui : l’importance des traces numériques que nous laissons et de notre identité numérique. Ses préoccupations à cet égard se tournent surtout vers la nouvelle génération.