Lors du congrès 2010 de l’AQEP, qui s’est tenu à St-Hyacinthe du 3 au 5 novembre dernier, une intéressante table ronde a permis à quatre invités ainsi qu’aux participants de débattre sur le thème des TBI et autres outils technologiques en classe. Aujourd’hui : présentation des participants et des questions débattues.
Cette table ronde était une initiative de De Marque, entreprise bien établie au niveau des technologies éducatives, qui représente notamment le tableau interactif Activboard, mais qui s’intéresse aussi aux contenus et activités liés aux TBI en général (NDLR : De Marque est aussi l’éditeur de l’Infobourg).
Les participants :
L’animateur était Simon De Jocas, vice-président ventes et marketing chez De Marque.
Les invités étaient :
- Pierre Poulin : enseignant au primaire depuis 17 ans, surtout en 6e année. Il a créé la classe de ses rêves, à l’école Wilfrid-Bastien de la CS de la Pointe-de-l’Île, une classe technologique du 21e siècle, qui est devenue son sujet de recherche au doctorat (voyez notamment l’article Une iclasse à St-Léonard). Pierre Poulin dispose d’un SmartBoard dans sa classe.
- Isabelle Massé : directrice de l’école Wilfried-Bastien, où enseigne le premier invité, Pierre Poulin. Elle soutient l’expansion des technologies dans son école.
- Claude Frenette : Animateur RÉCIT au niveau des établissements d’enseignement privé. Il utilise les TBI depuis 3 ans environ, il a déjà enseigné au primaire et au secondaire comme spécialiste en musique.
- Yves Nadon : enseignant depuis 31 ans, actuellement en 1re année à l’école Notre-Dame-du-Rosaire, CS de la région de Sherbrooke. Il est auteur de livres jeunesse et possède un iPad, un iPod, un MacBook, un TBI Activboard depuis quelques mois, mais, surtout, une magnifique collection de livres pour enfants qui est toujours à la disposition de ses élèves.
Les trois questions du débat :
Question 1 : Les TBI et autres outils technologiques constituent-ils une réelle révolution?
Question 2 : Les accessoires offerts autour des TBI sont-ils réellement utiles? Y a-t-il d’autres technologies plus appropriées?
Question 3 : Quelles recommandations feriez-vous à un(e) collègue qui souhaite intégrer les TIC dans sa classe?
À ne pas manquer dans les prochains jours!