Pourquoi certains enseignants laissent-ils leurs élèves utiliser les TIC en classe plus que d'autres? Et pourquoi certains participent-ils plus à des activités de développement professionnel couvrant l’utilisation des TIC? L'OCDE propose des pistes de réponses à la lumière des résultats de la plus récente enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS).
Suite à la Conférence internationale sur les TIC et sur l’Éducation post-2015 tenue en mai dernier, l’UNESCO propose un plan d’action international d’intégration et de développement des TIC en éducation d’ici 2030.
Selon un rapport de l’OQLF, si le critère de l’évaluation de l’orthographe était éliminatoire lors de l’épreuve unique de français en 5e secondaire, environ la moitié des élèves échouerait. Voici des idées et ressources, pour la classe et la maison, pour relever ce défi!
Beaucoup de gens du milieu scolaire croient que les élèves sont très engagés quand ils utilisent la technologie. Cependant, sont-ils vraiment engagés dans la tâche, ou sont-ils tout simplement excités par la nouveauté? Voici différentes pistes de réflexion sur la question.
Une importante enquête internationale publiée aujourd'hui par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) montre que la population du Canada embrasse de plus en plus les technologies de l'information et des communications (TIC) et qu'elle est bien positionnée pour la société et l'économie du xxie siècle.
Il y a quelque temps, nous avions invité des enseignants à nous parler de leur utilisation des TIC en classe. Haddadi Mohamed, instituteur au Maroc, nous parle des avantages qu’il y trouve dans son enseignement des sciences.
D’après vous, quelles sont ces raisons? Malgré toute la bonne volonté du monde, intégrer les TIC à l’école demande de relever des défis à la fois financiers, techniques, humains et pédagogiques. Êtes-vous prêts (ou l’étiez-vous)?