Pourquoi certains enseignants laissent-ils leurs élèves utiliser les TIC en classe plus que d'autres? Et pourquoi certains participent-ils plus à des activités de développement professionnel couvrant l’utilisation des TIC? L'OCDE propose des pistes de réponses à la lumière des résultats de la plus récente enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS).
Le Réseau des répondants TIC (REPTIC) a lancé dernièrement deux sites Web destinés à développer les habiletés en matière de recherche, de traitement et de présentation de l'information obtenue sur le Web, de collaboration en réseau et d'utilisation responsable des technologies comme la protection de l'identité numérique et de la cyberréputation.
En décembre 2013, 1721 enseignants du primaire et du secondaire de la commission scolaire des Affluents ont répondu à un sondage visant à tracer le portrait de leurs compétences technopédagogiques. Ces résultats serviront de base pour la rédaction des plans TIC.
Combien de parents s’en remettent à leurs jeunes quand ils ont un problème informatique, comme si cette génération possédait d’instinct la science des ordinateurs? Voilà pourtant ce qui caractérise l’expérience de nos jeunes avec l’ordinateur : elle est souvent basée davantage sur l’instinct que sur des connaissances solides.
Pas suffisamment, observe un groupe de chercheurs de l’UQÀM. En effet, les résultats de leurs analyses montrent que sur les six composantes de la compétence professionnelle 8 (intégrer les TIC), une seule est généralement maitrisée, quatre sont maitrisées partiellement et une reste à développer.