À l’occasion du 37e colloque de l’AQUOPS, nous avons rencontré Suzanne Dansereau, enseignante retraitée et bénévole engagée au sein du comité des ateliers, qui nous partage son affection pour ce rendez-vous incontournable des passionnés de l’enseignement et des technologies éducatives.
Texte par Alexane St-Amant Ringuette
Tout au long de sa carrière de pédagogue, l’intérêt de Suzanne pour les technologies a été grandissant. De nature curieuse, elle était parmi les premières à utiliser un ordinateur en classe. Lorsqu’elle est devenue conseillère pédagogique au RÉCIT, le colloque de l’AQUOPS est devenu un lieu pour s’alimenter et s’inspirer. Avec ses collègues de la région de Québec, elle venait chaque année assister à des présentations créatives qui sortaient de l’ordinaire. Celles-ci lui permettaient de voir les nombreuses possibilités d’intégration pédagogique des technologies et d’enrichir ses accompagnements auprès des enseignants.
Dans cette entrevue, Suzanne explique que la programmation de l’AQUOPS a beaucoup évolué au fil du temps alors que le comité organisateur a compris que les participants avaient besoin de « faire » et non seulement « d’écouter ». Les ateliers-conférences qui occupaient la majeure partie de l’horaire ont laissé place à de nouveaux formats d’ateliers, tels que les journées thématiques, les Exploracamps et la session Emballe-moi.
Pour Suzanne, il importe de faire une place aux jeunes enseignants dans le milieu de l’AQUOPS. C’est cette préoccupation qui l’a motivée à développer des liens avec l’Université Laval. Grâce à sa détermination, des étudiants en enseignement ont l’opportunité depuis 2011 de participer au colloque, de s’inspirer de nouveaux modèles, de voir différentes façons de faire et de ressentir la passion et le plaisir des participants. Vous pouvez d’ailleurs lire leurs articles sur le blogue de l’AQUOPS.
On vous invite à écouter l’entrevue pour en apprendre davantage sur la programmation diversifiée de l’AQUOPS et les motivations de Suzanne de s’impliquer chaque année pour la réussite de ce colloque.
Réalisé avec le soutien de Carrefour Éducation
Dans un quotidien scolaire où la charge organisationnelle peut freiner l’élan créatif, les outils numériques offrent des leviers concrets pour mieux planifier l’enseignement. En Montérégie, la plateforme Catapulte permet d’organiser des projets culturels en milieu scolaire avec efficacité, tout en ouvrant une porte vers un riche réseau d’artistes, d’écrivain(e)s et d’organismes.
Lors du plus récent congrès de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF), Josée Lévesque, gestionnaire du développement communautaire et de la vie-carrière au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick, a animé un atelier intitulé « L’apprentissage expérientiel : un levier puissant pour une école au cœur de sa communauté ». On vous partage nos notes!
Début octobre, le congrès annuel de l’ACELF a réuni à Markham, en Ontario, une communauté éducative francophone engagée, venue de partout au Canada. L’événement a offert un espace de rencontre, de réflexion et d’inspiration, où jeunes, enseignants et professionnels ont exploré des pratiques innovantes, célébré leur langue et partagé leur fierté identitaire. Voici un aperçu de l’énergie qu’il y avait dans « l’ère ».
Pour commenter un article et y ajouter vos idées, nous vous invitons à nous suivre sur les réseaux sociaux. Tous les articles y sont publiés et il est aussi possible de commenter directement sur Facebook, X, Instagram, Bluesky ou LinkedIn.
Sauf dans les cas où la licence est expressément indiquée, il n’est pas permis de reproduire les articles de l’École branchée. Toute demande de reproduction doit être adressée directement à l’organisme.
Dans son processus éditorial, notre équipe fait appel à des technologies intégrant l’intelligence artificielle pour améliorer les textes, entre autres par la reformulation de passages, la révision linguistique, la traduction et la synthèse des idées. Tous les textes sont révisés par des humains avant leur publication.
