À l’occasion du colloque de l’AQUOPS, nous avons rencontré Patrick Beaupré, conseiller régional RÉCIT à la formation générale des adultes et président de l’AQUOPS, qui nous parle de l’évolution du colloque d’hier à aujourd’hui, et de ce qu’il entrevoit pour l’AQUOPS de demain.
Texte par Alexane St-Amant Ringuette
Du 27 au 29 mars 2018, l’École branchée était au colloque de l’Association québécoise des utilisateurs d’outils technologiques à des fins pédagogiques et sociales (AQUOPS) à Québec. Plus de 1 000 intervenants du domaine de l’éducation s’y sont réunis afin de prendre part à cet incontournable rendez-vous technopédagogique annuel.
Dans cette entrevue, Patrick Beaupré nous rappelle que l’ordinateur était présent lors de la création de l’AQUOPS en 1981, mais qu’il fallait être assez visionnaire pour croire que ce « bidule » pourrait être utilisé en classe.
Vers une finalité pédagogique et sociale
Mais l’AQUOPS ça veut dire quoi?
Initialement, il s’agissait de l’Association Québécoise des Utilisateurs de l’Ordinateur au Primaire et au Secondaire. Après 35 ans, l’AQUOPS a changé de nom pour devenir l’Association Québécoise des Utilisateurs d’Outils technologiques à des fins Pédagogiques et Sociales.
L’acronyme est resté le même.
Patrick explique que ce changement a été motivé par la volonté de mieux représenter ses membres et de s’adapter au 21e siècle. S’il vise d’abord et avant tout à accompagner les participants en pédagogie, il y a également une dimension sociale puisque les outils technologiques permettent de créer des interactions.
Qu’en est-il de demain?
Patrick prévoit que dans les années à venir, les organisateurs de l’AQUOPS voudront amener des choses différentes et sortir de l’unique formule conférence et ateliers « mains-sur-les-touches ». Une chose est certaine, il veut que l’AQUOPS continue de rassembler « en vrai » des passionnés autour de l’éducation, de la pédagogie et de la technologie, un mélange qu’il considère vraiment intéressant!