Récemment, une lectrice nous offrait le défi suivant :
J’aimerais que nos enseignants puissent faire une réflexion éclairée afin de faire un choix entre l’iPad et l’ordinateur. Pouvez-vous m’aider?
Une excellente question… Et donc quelques pistes tirée de nos archives!
Notre dossier Implanter l’iPad au secondaire en mode «1 pour 1» est un excellent point de départ pour nourrir votre réflexion en ce qui concerne la tablette iPad plus particulièrement, en plus de vous offrir de bons conseils pour réussir le virage pédagogique qui accompagne tout virage technologique. Vous y trouverez aussi d’intéressantes pistes pour un éventuel déploiement massif de l’outil que vous choisirez, si c’est ce que vous visez.
À propos des Chromebook (ordinateurs portables), lisez cet article qui résume l’atelier offert pendant l’un des Rendez-vous du RÉCIT sur le sujet, accompagné du webinaire complet en rediffusion à la demande. Le tout vous sera assurément utile! Il est important de se rappeler que le Chromebook, bien qu’il ressemble à un ordinateur portable, partage plus de caractéristiques avec la tablette.
Voyez aussi :
J’avais commencé à dresser une liste concrète de « Pour » et de « Contre », mais j’ai vite abandonné l’idée car ce qui apparaissait dans la colonne « Pour » pouvait parfois constituer un « Contre » pour un autre milieu! Bref, comme dans toute grande question, la réponse est « ça dépend »! Voici toutefois des suggestions de catégories d’avantages et d’inconvénients à examiner, selon votre propre situation.
POUR
CONTRE
Par exemple, un avantage physique et pédagogique de la tablette dans un milieu donné peut être de favoriser une classe sans papier. Mais pour un milieu où le numérique est nouveau pour l’ensemble du personnel, ça peut constituer un frein pédagogique! Ou encore, la commodité de l’infonuagique (stockage dans un espace Web accessible de partout) devient un irritant lorsque la connexion wi-fi est instable.
Certains milieux ont préféré varier les outils mis à disposition des élèves et des enseignants pour leur offrir une multitude de possibilités plutôt que d’imposer une seule solution. Qui sait, peut-être que votre meilleur choix s’avèrera… un peu de tout? À ce moment, vous trouverez des pistes intéressants dans notre dossier sur l’approche BYOD, une approche qui préconise que les jeunes puissent apporter leur propre appareil à l’école. Même si ce n’est pas votre choix, vous apprécierez les pistes qu’il offre concernant la gestion de différents type d’appareils.
Alors… tablette ou ordinateur portable? J’espère que ces pistes de réflexion sauront vous être utile! N’hésitez pas à ajouter vos propres ressources sur la question en commentant au bas de cet article!
Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!
Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.
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