La Communauté pour l’Innovation et la Recherche sur les Technologies dans l’enseignement/apprentissage (CIRTA) a pour mission d’offrir un réseau aux étudiants et aux professionnels des cycles de l’enseignement supérieur. Depuis 2015, elle organise un congrès annuel qui regroupe experts et passionnés en éducation dans le but d’échanger sur les résultats de recherche et les expériences novatrices vécues à l’aide des TIC.
Cette année, c’est autour du thème « Présent et futur de l’enseignement et de l’apprentissage numérique » que les participants ont pu en apprendre davantage sur l’apprentissage et le numérique, le jeux sérieux, la formation à distance, l’environnement numérique d’apprentissage, la formation numérique en milieu de travail, la modélisation et gestion des connaissances, l’analytique de l’apprentissage ainsi que les technologies et usages novateurs.
Sous forme de communication orale, d’atelier ou de symposium, les présentateurs ont pu partager le fruit de leurs recherches, leur façon de fonctionner, une expérience innovative réalisée, etc.
Cette année, la TÉLUQ, institution organisatrice du congrès, a offert une alternative à la participation sur place à l’événement. Des communications numériques ont été mises à disposition des présentateurs et des inscrits qui ne pouvaient se déplacer pour l’événement. C’est donc à toute la francophonie que s’est ouvert le congrès de la CIRTA cette année. Les sujets présentés allaient de la présentation de témoignages aux résultats de recherche, en passant par le cheminement et le processus d’un projet de recherche.
Bien que les présentations ne s’adressaient pas nécessairement aux professionnels de l’éducation des niveaux préscolaire, primaire et secondaire, certaines étaient pertinentes pour ces derniers afin de s’inspirer à faire différemment tout en gardant en tête les besoins de leur clientèle. Par exemple, il a été question des défis de la collecte de données et de la vie privée, du rôle du technopédagogue ou de l’importance du contexte pour une utilisation efficace des TIC en enseignement dans certaines communications.
Pour avoir accès aux documents disponibles de certaines présentations, vous êtes invités à parcourir le programme en ligne de l’événement.
Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!
Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.
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