Cette année encore, Edcamp Québec est de retour et les inscriptions sont ouvertes. Cette journée de développement professionnel se déroule dans une ambiance décontractée et permet de parler d’enjeux pédagogiques qui intéressent réellement les participants.
L’activité s’adresse à la fois aux enseignants, futurs enseignants et autres professionnels de l’éducation, principalement du préscolaire, du primaire, du secondaire, des secteurs public comme privé. Les sujets abordés se décident le matin même par les participants, selon leurs intérêts.
La formule Edcamp est dérivée du « Barcamp », défini ainsi sur Wikipédia : « Un Barcamp est une rencontre, une non-conférence ouverte qui prend la forme d’ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose.
Le mouvement Edcamp a débuté aux Etats-Unis et célèbre cette année sa 5e année d’existence. Ces événements sont organisés par des bénévoles qui s’assurent de fournir les locaux et d’assurer un minimum de logistique aux participants. Le matin même, un grand tableau proposant des cases horaire et des locaux est diffusé. Les gens sont libres de les utiliser pendant la journée pour échanger sur les thèmes qui leur tiennent à cœur. Par exemple, si vous rencontrez de la difficulté à intégrer la tablette mobile dans votre enseignement, vous inscrivez ce sujet sur le tableau et les autres intéressés vous rejoignent au lieu et à l’heure convenus pour en parler. C’est l’occasion idéale pour réseauter et faire le plein de bonnes idées.
Voici quelques exemples de sujets qui ont été discutés l’an dernier :
– BYOD et recyclage d’appareils au bénéfice des élèves;
– Comment financer des projets scolaires par le sociofinancement (crowdfunding)
– L’« app smashing »
– L’imprimante 3D
– Passage secondaire-cégep au niveau des technologies
– La réalité augmentée en éducation
– Comment évaluer autrement dans le cadre d’un projet 1 pour 1?
– Utilisation efficace du TNI par les élèves. Comment bien utiliser cet outil?
– Partage d’applications chouettes pour le secondaire toutes disciplines confondues
– Explorer l’intégration de l’iPad pour élèves EHDAA
– Partage d’apps et de ressources en ligne « coup de cœur » pour le primaire
– etc.
La journée aura lieu le 15 mai au Collège des Compagnons, secteur Sainte-Foy à Québec. Les gens de partout sont bien sûr invités. Le coût d’inscription est de 11 $ par personne pour défrayer le repas du midi et les collations. De nombreux prix de présence seront tirés à la fin de la journée. On attend environ 150 participants.
Inscription : http://edcampqc2015.eventbrite.ca
Page Web : http://edcamp.wikispaces.com/edcamp+Québec
Sur Facebook : www.facebook.com/edcampQuebec
Sur Twitter : www.twitter.com/edcampQuebec
Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!
Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.
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