Au Québec, le RÉCIT est un réseau de personnes ressources qui aident les enseignants à intégrer les technologies à la vie de leurs classes. Tout enseignant peut faire une demande d’aide et c’est tout à fait gratuit. Les « animateurs RÉCIT » ont comme mission de les accompagner et de leur donner confiance dans leurs capacités.
Au Québec, le programme de formation intègre le développement d’une compétence liée à l’appropriation des TIC chez les élèves. Cependant, pour favoriser son développement, les enseignants doivent être à même de guider leurs élèves. Et qui dit « guider » dit « s’y connaître un peu »!
Force est de constater que sur les quelques 100 000 enseignants du Québec, nombreux sont ceux qui ne voient pas comment l’utilisation de la technologie peut améliorer l’apprentissage de leurs élèves. D’autres encore le voient, mais ne se sentent pas suffisamment à l’aise avec l’ordinateur pour explorer cette avenue. Les animateurs RÉCIT veillent à « leur expliquer les avantages et leur redonner confiance en leurs capacités », peut-on lire dans un billet du RÉCIT intitulé « Accompagner les enseignants débutants en TIC, un des mandats importants du RÉCIT ».
Ce réseau est présent dans toutes les commissions scolaires (« RÉCIT local ») et une équipe soutient aussi les écoles privées. De plus, des « services nationaux » chapeautent des domaines d’apprentissages ou des clientèles particulières (par exemple : le Service national du RÉCIT en adaptation scolaire, le Service national du RÉCIT du domaine des Arts, etc.).
Tel que rappelé par le RÉCIT lui-même, chaque commission scolaire a une organisation qui peut varier. Habituellement, l’équipe RÉCIT est constituée d’enseignants libérés. « Certaines commissions scolaires vont souvent y associer des conseillers pédagogiques, des techniciens ou du personnel de la direction. Ce sont généralement des personnes qui utilisent les TIC de façon courante dans leur pratique professionnelle ou pédagogique. Quant à la personne-ressource du service local du RÉCIT, elle agit à titre de coordonnateur et de responsable de ce réseau, animant, planifiant formant le réseau multiplicateur et gérant les rencontres. »
Alors, comment obtenir de l’aide dans votre classe?
– Vous pouvez commencer par visiter le site de votre commission scolaire. Plusieurs RÉCIT y ont une section dédiée avec des suggestions de ressources (par exemple, le site RÉCIT de la CS du Chemin-du-Roy), de l’information sur les prochaines activités prévues ou la façon de les contacter.
– Vous ne trouvez pas? Essayez sur Google en tapant le nom de votre commission scolaire et le mot « RÉCIT ».
– Vous pouvez également consulter le bottin complet sur le site général du RÉCIT.
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Comment faire vibrer la fibre francophone des jeunes dans un contexte où la culture anglophone domine? Lors du plus récent colloque de l’ACELF, Élise Goulet Pedersen, enseignante en Ontario, a présenté un atelier foisonnant d’idées pour intégrer la culture populaire francophone en classe. Son objectif : raviver l’amour du français chez les élèves grâce à des repères actuels, accessibles et inspirants.
Lors du colloque de l’École en réseau, Laurie Samson, enseignante en arts plastiques au Centre de services scolaire des Phares, a partagé son expérience de collaboration interclasse au secondaire. Forte de son rôle d’enseignante ressource à l’ÉER, elle a présenté des pratiques inspirantes pour faire évoluer les activités en arts au niveau secondaire.
Communiqué — En vue de la Semaine québécoise du trouble développemental du langage (TDL), qui débute le lundi 20 octobre, Alloprof et le Regroupement TDL Québec lancent le projet Au cœur du trouble développemental du langage. Élaboré par les experts de TDL Lanaudière, ce nouveau dossier réunit 9 articles et 1 balado de 7 épisodes qui visent à informer, démystifier et offrir des conseils concrets à l’entourage des jeunes vivant avec un TDL.
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