Les jeunes du secondaire et du cégep sont invités, d’ici le 31 mars, à soumettre des projets dans le cadre du concours CRÉETAVILLE. C’est une compétition d’innovation technologique où les participants soumettent un projet d’électronique, de robotique ou d’application logicielle à réaliser seul(e) ou en équipe de deux, en lien avec au moins un aspect de la thématique : une ville verte, interactive ou en mouvement.
C’est la 2e édition du concours et déjà, on anticipe des sommets de participation. Déjà 32 projets ont été soumis par des élèves des écoles secondaires de l’ouest de l’île de Montréal, dans les cégeps de Sherbrooke, Ahuntsic, Maisonneuve, Lionel-Groulx, Gérald-Godin ainsi qu’à l’École de technologie supérieure (ÉTS).
Selon un communiqué, « on cherche partout des approches gagnantes afin de stimuler l’intérêt des jeunes pour l’innovation et l’entrepreneuriat technologiques. L’approche de CRÉETAVILLE est gagnante parce qu’elle est fondée sur la collaboration. CRÉETAVILLE construit des ponts entre les cégeps, les universités, les commissions scolaires, les PME, les grandes entreprises et les organismes gouvernementaux ».
La question de départ posée aux jeunes est la suivante : « Dans la ville du futur, quels services pourraient rendre un robot, un produit électronique ou une application logicielle en relation avec la thématique? » Pour les guider dans le choix de projet, on leur suggère des défis proposés par des entreprises (dont Google, CGI et le CHUM) ou de partir de leurs intérêts personnels.
« Cette année, on vise au moins 50 inscriptions au concours. Construire des ponts, c’est un art; stimuler l’innovation, c’est l’avenir », affirme Isabelle Provost, coordonnatrice de CRÉETAVILLE.
Les jeunes ont jusqu’au 31 mars pour s’inscrire et présenter leurs projets technos. Les prix et les conditions détaillées sont affichés sur le site Web www.creetaville.com.
Photo : Les gagnants des premiers prix de l’édition CRÉETAVILLE 2014 : Emmanuelle Roy Dubreuil (volet secondaire) pour Sauvez les bixis! visant à produire un message publicitaire lumineux sur la roue d’une bicyclette, et Ka Hei Chu (volet collégial/universitaire) pour son projet de main robotisée pouvant reproduire les lettres en langage des signes. (Groupe CNW/Cégep Gérald-Godin).