À l’occasion du deuxième Sommet du développement professionnel, nous avons rencontré Anick Sirard, conseillère pédagogique à la Commission scolaire des Samares, qui nous parle de développement professionnel et de reconnaissance.
Texte par Alexane St-Amant Ringuette
Pour Anick, le plus important levier de développement professionnel est la confiance. La confiance en ce que l’autre est et en ce qu’il peut m’apporter ainsi que la confiance en soi et en ce qu’on peut apporter à l’autre. Pour développer progressivement cette confiance et apprécier les marques de reconnaissance et de valorisation, il importe de se donner le droit à l’erreur et d’apprendre la prise de risque.
« Le développement professionnel c’est le chemin qu’on se trace pour continuer à devenir la meilleure version de ce qu’on peut être sur le plan professionnel » – Anick Sirard
Dans cette entrevue, Anick souligne que plus les compliments qu’on fait aux autres sont spécifiques, plus on leur fait prendre conscience de leur véracité et plus on favorise le développement de la confiance. On gagnerait à nourrir une valorisation qui vient de l’intérieur afin que chacun en vienne à reconnaître ce qu’il fait de bien.
Pour poser un regard sur son développement professionnel et se placer en posture de mentalité de croissance, il est nécessaire de mener une action réflexive afin de reconnaître ses forces et les zones de vulnérabilités sur lesquelles on peut travailler. Pour Anick, il s’agit de se poser deux questions : Où j’en suis? et Quel est le prochain pas?
« Se reconnaître, c’est être en posture de mentalité de croissance » – Anick Sirard
On vous invite à écouter cette entrevue pour entendre Anick sur des éléments clés du développement professionnel : la confiance, la valorisation, la mentalité de croissance et l’alignement entre les paroles et les actes.
En complément à cet entretien, vous pouvez également revoir les webinaires suivants de Cadre 21 et EscouadeEdu.
Dans un quotidien scolaire où la charge organisationnelle peut freiner l’élan créatif, les outils numériques offrent des leviers concrets pour mieux planifier l’enseignement. En Montérégie, la plateforme Catapulte permet d’organiser des projets culturels en milieu scolaire avec efficacité, tout en ouvrant une porte vers un riche réseau d’artistes, d’écrivain(e)s et d’organismes.
Lors du plus récent congrès de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF), Josée Lévesque, gestionnaire du développement communautaire et de la vie-carrière au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick, a animé un atelier intitulé « L’apprentissage expérientiel : un levier puissant pour une école au cœur de sa communauté ». On vous partage nos notes!
Début octobre, le congrès annuel de l’ACELF a réuni à Markham, en Ontario, une communauté éducative francophone engagée, venue de partout au Canada. L’événement a offert un espace de rencontre, de réflexion et d’inspiration, où jeunes, enseignants et professionnels ont exploré des pratiques innovantes, célébré leur langue et partagé leur fierté identitaire. Voici un aperçu de l’énergie qu’il y avait dans « l’ère ».
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