Pour inciter les jeunes à participer à la lutte contre les changements climatiques, le gouvernement du Canada lançait récemment le site Climat jeunes.
Les jeunes Canadiens âgés entre 8 et 15 ans sont invités à participer à la lutte contre les changements climatiques via le nouveau site Climat jeunes. Voici le portrait de cette plateforme interactive ainsi que celui d’autres sites du même genre.
Épuré et facile à naviguer, le nouveau site du gouvernement canadien propose plusieurs activités éducatives concernant ce défi planétaire. Des jeux et des capsules d’information amènent les jeunes à faire une introspection de leurs propres connaissances, tout en leur faisant prendre conscience des impacts de leurs gestes quotidiens et de ceux de leur entourage.
Ces jeunes seront désormais responsabilisés et outillés pour parler de ces questions à leurs proches afin de les sensibiliser aux gestes simples qui peuvent être posés à la maison, à l’école et dans la collectivité. Catherine McKenna, ministre canadienne de l’Environnement et du Changement climatique, estime d’ailleurs qu’en se positionnant tôt sur cet enjeu, ils deviendront des acteurs importants dans la lutte contre les changements climatiques.
Dans la même veine, « Le coin de Rafale », intégré au site du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques du gouvernement du Québec, met à la disposition des jeunes et des enseignants une impressionnante banque de jeux et d’outils interactifs pour développer des connaissances au sujet de l’environnement et des changements climatiques.
Le site Petites expériences suggère pour sa part des activités à réaliser en classe afin de comprendre et surtout, de visualiser divers éléments en lien avec le réchauffement de la planète.
Pour compléter ce tour d’horizon, plusieurs vidéos pertinentes sont présentées sur le site de Greenpeace Canada. Fortement investie dans l’exposition des problèmes environnementaux, cette organisation offre même des formations aux personnes désirant s’impliquer à ce niveau.
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Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!
Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.
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