L'École branchée, un organisme à but non lucratif

Développer ses compétences numériques avec l’activité J’aime les mots

Dans le cadre de la 22e édition des Journées de la culture, les MOTS seront à l’honneur. Pour l’occasion, une nouvelle initiative est lancée : l’activité J’aime les mots, parrainée par Simon Boulerice.

Publié le :

Classé dans :

Attention! Ce contenu a été mis à jour il y a plus de 3 ans. Il pourrait contenir des liens qui ne fonctionnent plus. N'hésitez pas à nous écrire si vous en trouvez!

Array

Connaissez-vous les Journées de la culture? Orchestrées par Culture pour tous, ces journées se veulent une célébration des arts et de la culture québécoise sous toutes ses formes, dans toutes les régions du Québec. Chaque année, plus de 3000 activités gratuites et interactives sont accessibles pendant le dernier vendredi de septembre et les deux jours qui suivent.

Dans le cadre de la 22e édition des Journées de la culture, les MOTS seront à l’honneur. Pour l’occasion, une nouvelle initiative est lancée : l’activité créative et ludique J’aime les mots, parrainée par Simon Boulerice.

Une activité clé en main pour les enseignants du secondaire

Pour lancer le coup d’envoi des 22e Journées de la culture, l’activité J’aime les mots invite les enseignants et leurs élèves à prendre la parole sur les réseaux sociaux sous forme de mème, phénomène culturel viral actuellement. Alliant une image, une photo, un GIF ou une vidéo avec une citation humoristique de quelques mots, les mèmes sont devenus d’incontournables outils de publication web.

Ainsi, le 28 septembre 2018, les jeunes sont invités à créer un mème pour illustrer en images et en textes leurs pensées et leurs réflexions, puis à publier ceux-ci sur les réseaux sociaux en utilisant la balise #JmLesMots. L’écrivain, comédien, dramaturge et metteur en scène Simon Boulerice sera en ligne sur Facebook, Twitter et Instagram afin de mettre en valeur le travail des élèves et d’interagir avec eux. Il sera également possible de lire les commentaires du créateur sur les publications des participants dans la galerie interactive des Journées de la culture.

Permettant d’aborder les thèmes tels que les réseaux sociaux, la citoyenneté numérique, la publication en ligne, le droit d’auteur ou encore les grands enjeux de société, cette activité peut être réalisée en une seule période de classe. Lors de l’inscription, les enseignants ont accès à une trousse pédagogique complète, comprenant des pistes préparatoires.

« Les professeurs sont invités à intégrer J’aime les mots à leur planification de l’année scolaire 2018-2019 pour participer à un mouvement collectif avec d’autres jeunes de tout le Québec et de la Francophonie ! » – Les Journées de la Culture

À gagner : une rencontre avec Simon Boulerice

Parmi les classes participant à l’activité J’aime les mots, un jury sélectionnera celle qui se démarquera le plus en fonction du taux de participation et de l’originalité, la pertinence et la qualité du propos. La classe retenue aura la chance de rencontrer pendant une heure le parrain de l’activité, Simon Boulerice, en personne ou via Skype. Pour ceux et celles qui ne seront pas en ligne le 28 septembre, il faudra partager les mèmes avant le 12 octobre afin d’être admissibles au concours.

Les enseignants qui participeront aux Journées de la culture auront l’avantage de développer des projets originaux avec leurs élèves tout en contribuant au rayonnement culturel de leur localité. Pour plus d’informations ou encore pour s’inscrire à J’aime les mots, consultez le site web de l’activité.

À propos de l'auteur

Julie R.-Bordeleau
Julie R.-Bordeleauhttp://apprendre.education
Ex-enseignante et maman d'une famille militaire de 4 garçons, Julie R-Bordeleau est accompagnante en apprentissages alternatifs et auteure. Elle adore découvrir de nouvelles ressources et approches pédagogiques et holistiques qui permettent à ses clients d’apprendre et se développer de différentes façons, selon leurs besoins. Son site web julierbordeleau.com, son infolettre et ses services sont dédiés aux adultes qui changent le monde chacun à leur manière, qu’ils soient parents-éducateurs, parents ou professionnels.

Vos commentaires

Pour commenter un article et y ajouter vos idées, nous vous invitons à nous suivre sur les réseaux sociaux. Tous les articles y sont publiés et il est aussi possible de commenter directement sur Facebook, Twitter, Instagram ou LinkedIn.

Recevez l'infolettre Hebdo

Recevez l'infolettre Hebdo mardi #Actu et vendredi #DevProf pour ne rien manquer des nouveautés de l'École branchée!


Faites briller vos projets pédagogiques et pratiques gagnantes!

Chaque histoire positive a le potentiel d'inspirer d'autres acteurs de l'éducation à innover pour améliorer la réussite éducative! L'École branchée vous offre ses pages pour faire circuler l'information dans le milieu scolaire, alimenter la veille professionnelle et valoriser les initiatives émanant du terrain. Allez-y, proposez-nous un texte! >

Reproduction de textes

Toute demande de reproduction des articles de l'École branchée doit être adressée à l'organisme de gestion des droits Copibec.

À lire aussi

Le gouvernement investit 50 M$ pour assurer une place de choix à la culture québécoise dans toutes les écoles

Communiqué - Le ministre de l'Éducation, Jean-François Roberge, et la ministre de la Culture et des Communications, Nathalie Roy, ont annoncé cette semaine un investissement de 50 millions de dollars, soit 10 millions de dollars par année pendant cinq ans, afin d'accroître l'accès pour le milieu scolaire aux œuvres culturelles québécoises et d'assurer une meilleure intégration de la culture dans la pédagogie.

Se servir des archives pour imaginer le futur

En partenariat avec Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), des élèves du Saguenay et leurs enseignants ont pu se plonger dans les archives de l’institution avant de regarder vers l’avenir pour imaginer un milieu de vie idéal.

Quand l’amour du théâtre traverse l’écran

Grâce à un partenariat entre l’École en réseau et la Maison Théâtre de Montréal, de nombreux élèves de partout au Québec ont pu vivre des ateliers en lien avec le théâtre, et ce malgré la fermeture des lieux culturels au cours de la dernière année.