ANNONCE
ANNONCE

Changement dans l’aide technologique aux élèves ayant des besoins particuliers

Un budget de 4,6 millions $ supplémentaire sera dédié par le ministère de l’Éducation pour rendre accessibles les technologies de l’information et de la communication aux élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Cela porte le montant total à 6,6 millions $. Il ne s’agit toutefois pas d’« argent neuf », mais bien d’un transfert à partir de l’enveloppe du programme d’allocation pour des besoins particuliers.
Temps de lecture estimé : 3 minutes
PROPAGER VIA :

Table des matières

ANNONCE

Un budget de 4,6 millions $ supplémentaire sera dédié par le ministère de l’Éducation pour rendre accessibles les technologies de l’information et de la communication aux élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Cela porte le montant total à 6,6 millions $. Il ne s’agit toutefois pas d’« argent neuf », mais bien d’un transfert à partir de l’enveloppe du programme d’allocation pour des besoins particuliers.

Cette modification fera en sorte que l’équipement pourra maintenant être utilisé par l’élève à l’école et chez lui. « Cette harmonisation des mesures d’allocation des aides technologiques permet de confirmer le rôle central du plan d’intervention dans l’identification des besoins particuliers de l’élève en classe et à la maison », mentionne Esther Chouinard, responsable des relations de presse du ministère de l’Éducation.

« Pour être admissibles, les aides technologiques doivent avoir été identifiées dans le cadre de la démarche du plan d’intervention et être essentielles à la participation de l’élève aux activités éducatives de l’école », précise-t-on dans les balises de gestion de la mesure. Les sommes peuvent servir à l’achat d’ordinateurs, de périphériques adaptés aux besoins du jeune, de logiciels appropriés aux besoins de communication et d’apprentissage de l’élève, d’appareils permettant à l’utilisateur de construire des messages avec des symboles ou des pictogrammes qui sont ensuite traduits en message sonore ou texte, etc. Les systèmes d’exploitation, les logiciels d’application bureautique, les logiciels antivirus, les tableaux blancs interactifs, projecteur multimédia, appareils photo, caméscope, jeux éducatifs et logiciels diagnostiques sont notamment exclus.

Les élèves peuvent apporter ce matériel à la maison si nécessaire, même si ce dernier appartient à la commission scolaire. « Lors d’un changement d’école ou de commission scolaire, le matériel suit l’élève. Dans le cas d’un changement de commission scolaire, la propriété du matériel est transférée à la commission scolaire qui reçoit l’élève. […] Le matériel suit l’élève tant qu’il est scolarisé par une commission scolaire, y compris en formation professionnelle ou en formation générale des adultes, à la condition que l’élève soit en continuité d’études et que ce matériel soit toujours approprié. Lorsque l’élève quitte le réseau scolaire, le matériel est mis à la disposition d’autres élèves de la commission scolaire. »

À propos de l'auteur(e)
Ça pourrait être vous!
Chaque histoire positive a le potentiel d'inspirer des centaines de personnes à innover pour améliorer la réussite éducative. L'École branchée est VOTRE média! Profitez de ses pages virtuelles pour mettre en valeur vos réalisations tout en alimentant la veille professionnelle de vos collègues, d'ici et d'ailleurs. Allez-y, proposez un texte! >
NOS ANNONCEURS ET PARTENAIRES :
PROPAGER VIA :
À lire aussi
De la mémoire à la réussite : stratégies gagnantes issues de la neuroéducation

Comment savoir si un élève a réellement compris une notion? Pourquoi certains semblent tout oublier après quelques jours? Comment éviter de les surcharger, soutenir leur attention ou mieux les outiller pour étudier? Lors d’une conférence présentée par l’Institut des troubles d’apprentissage, le chercheur en neurosciences Steve Masson a partagé des réponses éclairantes et, surtout, des pistes très concrètes pour aider les enseignants à améliorer la réussite de leurs élèves. Voici ce qu’il faut en retenir.

Lire la suite
Surcharge numérique : reprendre le contrôle de ses outils pour mieux enseigner

Qui n’a jamais ouvert son ordinateur en pensant gagner du temps… pour finir noyé sous les onglets, les notifications et les outils qu’il faut sans cesse apprivoiser ? Pour beaucoup d’enseignants et de formateurs, cette fatigue numérique est bien réelle et mine la créativité autant que l’énergie. Comment reprendre le contrôle et revenir à un usage plus simple, plus fluide — plus humain — du numérique ? Cet article propose des pistes concrètes pour alléger la charge et recentrer la technologie sur l’essentiel.

Lire la suite
Qu’est-ce que le « défilement anxiogène » ?

Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.

Lire la suite
Commentaires, reproduction des textes et usage de l'intelligence artificielle

Pour commenter un article et y ajouter vos idées, nous vous invitons à nous suivre sur les réseaux sociaux. Tous les articles y sont publiés et il est aussi possible de commenter directement sur FacebookX, Instagram, Bluesky ou LinkedIn.

Sauf dans les cas où la licence est expressément indiquée, il n’est pas permis de reproduire les articles de l’École branchée. Toute demande de reproduction doit être adressée directement à l’organisme.

Dans son processus éditorial, notre équipe fait appel à des technologies intégrant l’intelligence artificielle pour améliorer les textes, entre autres par la reformulation de passages, la révision linguistique, la traduction et la synthèse des idées. Tous les textes sont révisés par des humains avant leur publication.

Connectez-vous!