ANNONCE
ANNONCE
L’enseignement intensif de l’anglais en sixième année qu’a l’intention d’implanter le gouvernement québécois obtient un accueil favorable des parents, mais les enseignants, eux, s’y opposent.
Temps de lecture estimé : 2 minutes
PROPAGER VIA :

Table des matières

ANNONCE

L’enseignement intensif de l’anglais en sixième année qu’a l’intention d’implanter le gouvernement québécois obtient un accueil favorable des parents, mais les enseignants, eux, s’y opposent.

En effet, la Fédération des comités de parents du Québec s’est dite cette semaine en faveur de l’implantation de l’anglais intensif, un programme déjà offert dans environ 12 % des classes qui a fait ses preuves, estime l’organisme. Par contre, la Fédération insiste pour que les besoins du milieu soient respectés, qu’il soit possible de faire preuve de souplesse dans le modèle retenu et que l’on respecte les besoins particuliers de certains élèves. « Les parents souhaitent l’implantation harmonieuse de l’anglais intensif. Alors, il est de notre devoir de s’y atteler avec sérieux et ouverture, tous ensemble, dès maintenant », indique Gaston Rioux, président de la fédération dans un communiqué.

Les enseignants, eux, sont en désaccord avec l’implantation universelle de l’anglais intensif en 6e année. La Fédération autonome de l’enseignement (FAE) et la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE) ont annoncé la semaine qu’elles se retiraient des travaux menés par le ministère de l’Éducation. « Retirer 400 heures d’enseignement dans l’ensemble des autres matières en 6e année représente, à notre avis, un risque important pour la réussite de tous », juge Manon Bernard, présidente de la FSE.

« Nous pressentons que la détermination du gouvernement à aller de l’avant prend le pas sur toutes autres considérations, notamment l’impact de cette mesure sur les élèves en difficulté ou les conditions de travail des enseignants titulaires de 6e année », fait valoir pour sa part Pierre St-Germain, président de la FAE.

À lire aussi :

Skype fait son entrée dans les classes

L’usage des TIC favorise la préservation de la culture, des valeurs et des traditions autochtones

Des écoles sans frontières… ou presque!

À propos de l'auteur(e)
Ça pourrait être vous!
Chaque histoire positive a le potentiel d'inspirer des centaines de personnes à innover pour améliorer la réussite éducative. L'École branchée est VOTRE média! Profitez de ses pages virtuelles pour mettre en valeur vos réalisations tout en alimentant la veille professionnelle de vos collègues, d'ici et d'ailleurs. Allez-y, proposez un texte! >
NOS ANNONCEURS ET PARTENAIRES :
PROPAGER VIA :
À lire aussi
Qu’est-ce que le « défilement anxiogène » ?

Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.

Lire la suite
Les #Édubrèves – édition du 2 décembre 2025

Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!

Lire la suite
La programmation, c’est pas sorcier! Les quatre piliers de la programmation expliqués simplement

Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.

Lire la suite
Commentaires, reproduction des textes et usage de l'intelligence artificielle

Pour commenter un article et y ajouter vos idées, nous vous invitons à nous suivre sur les réseaux sociaux. Tous les articles y sont publiés et il est aussi possible de commenter directement sur FacebookX, Instagram, Bluesky ou LinkedIn.

Sauf dans les cas où la licence est expressément indiquée, il n’est pas permis de reproduire les articles de l’École branchée. Toute demande de reproduction doit être adressée directement à l’organisme.

Dans son processus éditorial, notre équipe fait appel à des technologies intégrant l’intelligence artificielle pour améliorer les textes, entre autres par la reformulation de passages, la révision linguistique, la traduction et la synthèse des idées. Tous les textes sont révisés par des humains avant leur publication.

Connectez-vous!