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L’enseignement intensif de l’anglais en sixième année qu’a l’intention d’implanter le gouvernement québécois obtient un accueil favorable des parents, mais les enseignants, eux, s’y opposent.
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L’enseignement intensif de l’anglais en sixième année qu’a l’intention d’implanter le gouvernement québécois obtient un accueil favorable des parents, mais les enseignants, eux, s’y opposent.

En effet, la Fédération des comités de parents du Québec s’est dite cette semaine en faveur de l’implantation de l’anglais intensif, un programme déjà offert dans environ 12 % des classes qui a fait ses preuves, estime l’organisme. Par contre, la Fédération insiste pour que les besoins du milieu soient respectés, qu’il soit possible de faire preuve de souplesse dans le modèle retenu et que l’on respecte les besoins particuliers de certains élèves. « Les parents souhaitent l’implantation harmonieuse de l’anglais intensif. Alors, il est de notre devoir de s’y atteler avec sérieux et ouverture, tous ensemble, dès maintenant », indique Gaston Rioux, président de la fédération dans un communiqué.

Les enseignants, eux, sont en désaccord avec l’implantation universelle de l’anglais intensif en 6e année. La Fédération autonome de l’enseignement (FAE) et la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE) ont annoncé la semaine qu’elles se retiraient des travaux menés par le ministère de l’Éducation. « Retirer 400 heures d’enseignement dans l’ensemble des autres matières en 6e année représente, à notre avis, un risque important pour la réussite de tous », juge Manon Bernard, présidente de la FSE.

« Nous pressentons que la détermination du gouvernement à aller de l’avant prend le pas sur toutes autres considérations, notamment l’impact de cette mesure sur les élèves en difficulté ou les conditions de travail des enseignants titulaires de 6e année », fait valoir pour sa part Pierre St-Germain, président de la FAE.

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