Montréal – Amateurs et amatrices de téléromans, de téléréalités et de lecture, le projet littéraire d’Anic Bourgault et de Kadia Desautels, Val et Zoé, saura vous charmer.
Les deux auteures de Val et Zoé se sont inspiré du concept de Marie Laberge, Martha pour créer leur projet littéraire sous forme de lettres. « Je suis moi-même abonnée aux nouvelles de Martha. Marie Laberge est une de mes auteures préférées et je trouve son idée géniale. Je pense que la forme épistolaire mérite d’être exploitée davantage et c’est pourquoi notre projet littéraire prend cette forme », a expliqué Anic Bourgault. Les auteures ont toutefois développé un concept un peu différent où elles ont chacune leur place.
Val et Zoé sont deux amies qui se sont perdues de vue après l’université et qui se retrouvent 14 ans plus tard. Ces retrouvailles font jaillir toute l’amitié qui les unissait. Séparées géographiquement, elle décident d’entretenir leur relation amicale en s’écrivant des lettres. Elles se racontent ce qu’elles sont devenues depuis l’obtention de leur diplôme universitaire. Il ne suffit que de quelques lettres pour qu’elles retrouvent leur complicité d’autrefois.
Même si l’univers de Val et Zoé est purement fictif, les lecteurs se reconnaîtront facilement puisque les lettres aborderont des thèmes actuels comme la famille recomposée, la conciliation travail-famille, les joies d’être parent, le deuil et la dépression.
En vous abonnant à Val et Zoé, vous recevrez chez vous deux lettres par mois, pour un total de 24 par année. Le premier envoi sera posté au début de septembre 2010. Par ailleurs, le concept devrait se renouveler pour une période minimum de trois ans.
Anic Bourgault, notaire et fiscaliste spécialisée en taxes à la consommation, et Kadia Desautels, détentrice d’un baccalauréat en droit, ne sont pas écrivaines au sens propre. Par contre, elles passent la majeure partie de leur temps à écrire.
« Mise à part l’écriture, nous avons une grande envie d’offrir plus à nos abonnés, mais c’est une surprise que nos lecteurs découvriront en cours de route. Il ne reste qu’à convaincre les gens de nous faire confiance et de s’abonner en grand nombre », a conclu Mme Bourgault.
Par Marie-Christine Leblanc