Du 28 janvier au 28 mars 2014, les élèves de la fin du secondaire et plus seront invités à visiter gratuitement un salon virtuel destiné à les orienter dans leur choix de carrière.
Vers quels programmes s’orienter? Voilà une question qui hante bien des jeunes. C’est dans le but de les aider à faire des choix éclairés, où qu’ils soient dans la province, que se tiendra ce premier salon organisé sur une plateforme 3D et accessible sur Internet.
Dans le confort de son salon, ou du laboratoire de l’école, le jeune visiteur se retrouvera dans un environnement semblable à celui d’un vrai salon. La seule différence est que l’accès aux stands d’information sera beaucoup plus facile, lui permettant de trouver un grand nombre de formations et de métiers depuis un même endroit.
L’une des clés de l’organisation de ce Salon se trouve dans les deux journées (28 janvier, de 10h à 20h et 29 janvier, de 10h à 17h) où les jeunes pourront clavarder directement avec les représentants de nombreux établissements d’enseignement ainsi que des ordres professionnels et comités sectoriels présents sur la plateforme.
À part le clavardage, les jeunes pourront passer un test d’affinité pour découvrir les établissements et programmes qui leurs conviennent le mieux, visiter les stands librement et récupérer l’information qu’ils veulent.
Les organisateurs invitent aussi les parents à en apprendre davantage sur l’orientation de leur enfant. Ils pourront ainsi l’aider à faire ses choix à travers cette plateforme ludique. De plus, certains des établissements présents offrent des programmes de formation continue et pourront donc répondre aux questions des adultes.
Le premier Salon virtuel de l’étudiant au Québec est orchestré par L’Événement Carrières et le journal Métro. Il sera possible de s’y inscrire dès le 25 novembre 2013 pour être fin prêt à son ouverture.
Les salons virtuels sont une nouvelle tendance mondiale. On en trouve dans différents secteurs, notamment l’emploi, la famille, les animaux, etc.
Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!
Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.
Pour commenter un article et y ajouter vos idées, nous vous invitons à nous suivre sur les réseaux sociaux. Tous les articles y sont publiés et il est aussi possible de commenter directement sur Facebook, X, Instagram, Bluesky ou LinkedIn.
Sauf dans les cas où la licence est expressément indiquée, il n’est pas permis de reproduire les articles de l’École branchée. Toute demande de reproduction doit être adressée directement à l’organisme.
Dans son processus éditorial, notre équipe fait appel à des technologies intégrant l’intelligence artificielle pour améliorer les textes, entre autres par la reformulation de passages, la révision linguistique, la traduction et la synthèse des idées. Tous les textes sont révisés par des humains avant leur publication.
