Le taux de diplomation des garçons à 17 ans s’établit à 49,1 % comparativement à 62,2 % chez les filles. Pour remédier à la situation, la Fédération des syndicats de l’enseignement et la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec jugent qu’il faut miser sur la lecture et l’écriture. Les principales difficultés des élèves ayant des problèmes d’apprentissage relèveraient à 90 % de la lecture et de l’écriture, font-ils valoir.