Chaque année, ce sont plusieurs dizaines de milliers de jeunes âgés entre 6 et 20 ans qui participent aux Expo-sciences partout au Québec à travers les paliers de compétition local, régional et provincial. Le 10 février dernier, on procédait au lancement national de l’édition 2015.
« Le point départ d’un projet d’Expo-sciences, c’est plus souvent qu’autrement en classe. Sans les directions d’école, les enseignantes et enseignants qui se dévouent, de même que le soutien du personnel scolaire, beaucoup de jeunes n’auraient jamais eu le courage de débuter et de mener à bien un projet d’Expo-sciences », explique Marthe Poirier, la coordonnatrice nationale. D’ailleurs, un reportage s’adressant aux directions d’école, aux enseignants et aux exposants a été développé dans le but de souligner l’intérêt à participer aux Expo-sciences. Il sera distribué sous forme de clé USB dans certaines écoles de la province.
De retour pour une troisième année, c’est l’illusionniste Luc Langevin qui agit comme porte-parole national.
Le lancement officiel se veut une occasion d’inviter toute la population à visiter les finales des Expo-sciences, qui se tiendront partout au Québec en mars prochain. Les exposants qui se seront démarqués auront ensuite l’occasion de représenter leur région lors de la Super Expo-sciences Hydro-Québec, finale québécoise 2015 qui se tiendra à l’École polyvalente Nicolas-Gatineau en Outaouais du 16 au 19 avril prochain.
Pour en savoir plus, on peut visiter le site Web exposciences.qc.ca.
Par ailleurs, on apprenait le 11 février que Montréal accueillera l’édition 2016 de l’Expo-Sciences Pancanadienne.
L’Expo-Sciences Pancanadienne représente le championnat national de tous les niveaux des Expo-Sciences. Les meilleurs 500 jeunes scientifiques du Canada, choisis parmi les 500 000 participants aux Expo-Sciences tenues partout au pays, viendront à Montréal pour présenter leurs projets et entrer en compétition pour près de 1 million de dollars en prix et bourses d’études. L’événement se tiendra du 14 au 21 mai 2016 à l’Université McGill.
Photo : De gauche à droite : Mme Nathalie Beaudry, Présidente du Réseau CDLS-CLS, Luc Langevin, illusionniste et porte-parole national des Expo-sciences Hydro-Québec, Mme Marie-Josée Blais, Directrice générale, secteur de l’Innovation, Ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations et Mme France Lampron, Directrice – Électrification des transports, Hydro-Québec. (Groupe CNW/Conseil de développement du loisir scientifique).
Dans un quotidien scolaire où la charge organisationnelle peut freiner l’élan créatif, les outils numériques offrent des leviers concrets pour mieux planifier l’enseignement. En Montérégie, la plateforme Catapulte permet d’organiser des projets culturels en milieu scolaire avec efficacité, tout en ouvrant une porte vers un riche réseau d’artistes, d’écrivain(e)s et d’organismes.
Lors du plus récent congrès de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF), Josée Lévesque, gestionnaire du développement communautaire et de la vie-carrière au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick, a animé un atelier intitulé « L’apprentissage expérientiel : un levier puissant pour une école au cœur de sa communauté ». On vous partage nos notes!
Début octobre, le congrès annuel de l’ACELF a réuni à Markham, en Ontario, une communauté éducative francophone engagée, venue de partout au Canada. L’événement a offert un espace de rencontre, de réflexion et d’inspiration, où jeunes, enseignants et professionnels ont exploré des pratiques innovantes, célébré leur langue et partagé leur fierté identitaire. Voici un aperçu de l’énergie qu’il y avait dans « l’ère ».
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