De nombreux communiqués sont parus après l’annonce de l’intention du gouvernement québécois de renforcer l’enseignement de l’histoire nationale au primaire, au secondaire et au collégial. En voici un condensé.
Cours d’histoire nationale du Québec contemporain obligatoire au collégial : un pas dans la bonne direction
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – Force Jeunesse désire saluer l’annonce faite aujourd’hui par le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie concernant l’ajout d’un cours d’histoire nationale du Québec contemporain obligatoire pour tous les étudiants du collégial. En effet, il s’agit ici d’une mesure concrète visant à bonifier la formation citoyenne des jeunes Québécois.
Que ce soit par son colloque annuel Maîtres chez vous, pour parler de nos affaires publiques ou par différentes activités d’échange et de réflexion, Force Jeunesse a toujours travaillé à l’amélioration de la connaissance des jeunes Québécois des réalités économiques, sociétales et historiques du Québec. Un cours obligatoire intégrant ces notions constitue donc un pas dans la bonne direction. « Un jeune citoyen plus au fait des réalités historiques de sa société sera mieux à même de participer aux prises de décisions qui en influenceront le futur. Un tel cours obligatoire au niveau collégial vient donc enrichir le coffre à outils des générations futures qui devront assumer des décisions importantes pour le Québec », a souligné Éloi Lafontaine Beaumier, Président de Force Jeunesse.
L’organisme tient cependant à rappeler l’importance que ce cours devra accorder à la formation citoyenne des étudiants des cégeps. « L’objectif ici n’est pas d’offrir un cours à teneur idéologique sur l’histoire du Québec, mais bien de donner l’occasion aux étudiants des différents cursus collégiaux d’en apprendre plus sur la société dans laquelle ils évoluent et qu’ils s’approprieront en tant qu’acteurs essentiels de son développement », a précisé M. Lafontaine Beaumier. L’annonce d’aujourd’hui du ministre Duchesne se voulait toutefois rassurante à cet égard; Force Jeunesse continuera de suivre l’évolution de ce dossier avec attention.
Créé en 1998, Force Jeunesse est un regroupement de jeunes travailleurs visant la défense et l’amélioration des conditions de travail et des perspectives d’emploi de la relève dont les membres sont à la fois des associations et des individus. L’équité intergénérationnelle et une préoccupation pour l’avenir collectif de notre société sont au cœur des valeurs défendues par l’organisation.
SOURCE Force Jeunesse
Le MNQ se réjouit de l’annonce de la création d’un cours d’histoire du Québec au collégial et de la réforme du cours d’histoire et de la citoyenneté
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – Le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) se réjouit de l’annonce faite cet après-midi par les deux ministres responsables de l’éducation au sujet de la création d’un cours d’histoire sur le Québec contemporain obligatoire à la formation générale collégiale, de même que la réforme annoncée des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté au primaire et secondaire.
L’enseignement de l’histoire nationale étant lacunaire à tous les niveaux d’enseignement, le MNQ est heureux de constater que les réformes annoncées se feront en concertation avec les deux ministères. Ainsi, selon ce qui a été annoncé ce matin, les cours du secondaire viseront désormais à inculquer de façon chronologique les
Le MNQ est un membre actif de la Coalition pour l’histoire depuis sa fondation puisque la défense et la promotion de l’histoire nationale sont des éléments fondamentaux de sa mission. « Pour le MNQ, l’enseignement de l’histoire est un dossier de première importance car il permet la mise en valeur de notre identité nationale. Aujourd’hui, je suis heureux de constater que le gouvernement du Québec assume son rôle de leader à titre de protecteur et promoteur de notre héritage historique. À cet égard, je salue le travail de monsieur Pierre Duchesne et madame Marie Malavoy» a déclaré Gilles Laporte, président du MNQ.
Lui-même professeur d’histoire au cégep depuis 25 ans, Gilles Laporte a ajouté: « Les professeurs d’histoire des cégeps ont toute la compétence et l’expertise requises pour assurer un cours d’histoire nationale à la formation générale et cela dès la session automne 2014. Les professeurs d’histoire préparent fréquemment de nouveaux cours et seront certainement en mesure, dans un délai d’un an, de produire un plan-cadre sur l’histoire du Québec contemporain. En outre, ce cours est déjà offert dans les programmes de sciences humaines de certains cégeps et les ressources didactiques sont disponibles en vue d’offrir aux étudiants un cours rigoureux, bien adapté à la clientèle collégiale. »
Fondé en 1947, le MNQ est le réseau des dix-huit (18) sociétés nationales et sociétés Saint-Jean-Baptiste réparties sur tout le territoire du Québec. Il a pour mission de défendre et promouvoir l’identité québécoise, la langue, l’histoire, la culture et le patrimoine.
SOURCE MOUVEMENT NATIONAL DES QUEBECOISES ET QUEBECOIS
Nouveau cours d’histoire au Cégep : La FECQ salue l’idée et consulte ses membres sur son implantation
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) salue l’initiative du MESRST de vouloir augmenter les connaissances générales des étudiants via l’implantation d’un nouveau cours d’histoire au collégial, sans toutefois penser que celui-ci devrait être obligatoire pour tous les étudiants : « Il est important que les jeunes Québécois aient une bonne connaissance de leur histoire, entre autres pour avoir la capacité de mieux comprendre les enjeux d’actualités. Cependant, implanter un nouveau cours dans la formation d’un cégépien est beaucoup plus facile à dire qu’à faire et le ministère devra porter une attention particulière à cet aspect », s’est prononcée Éliane Laberge, présidente de la Fédération.
La FECQ est présentement en consultation à ce sujet. Elle vise à prendre une position officielle lors de son congrès de novembre. D’ici là, la Fédération ira à la rencontre de ses membres afin de recueillir leurs opinions et leurs préoccupations sur l’ajout de ce cours à leur formation. Plusieurs craintes sont déjà émises par les collégiens ayant des horaires de cours très chargés (parfois plus de 45h), il leur semble ainsi impossible de rajouter des heures de cours à la formation de l’ensemble des étudiants.
« Les cégépiens sont les premiers à être touchés par cette annonce. Ils ont leur mot à dire sur la façon d’intégrer ce nouveau cours à leur horaire. Il faut s’assurer que leur parcours académique ne sera pas mis à mal par cet ajout. Évidemment, nous demandons au Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, Pierre Duchesne, d’être à l’écoute des recommandations des principaux concernés dans ce débat, soit les étudiants », explique Éliane Laberge.
La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente plus de 80 000 étudiants réunis dans 21 associations étudiantes présentes sur l’ensemble du territoire québécois. Depuis 23 ans, elle défend et promeut les droits et intérêts des étudiants des cégeps.
SOURCE FEDERATION ETUDIANTE COLLEGIALE DU QUEBEC (FECQ)
Cours d’histoire au collégial – La FNEEQ accompagnera la démarche
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie (MESRST), Pierre Duchesne, vient d’annoncer l’introduction d’un cours obligatoire au collégial portant sur l’histoire contemporaine du Québec.
Selon la vice-présidente de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) responsable du regroupement cégep, Micheline Thibodeau, ce cours confirme l’importance de la formation générale et s’inscrit très bien dans l’objectif de partage d’un fonds culturel commun pour toutes les étudiantes et tous étudiants, et ce, tant de la formation préuniversitaire que de la formation technique.
« Maîtriser le fonctionnement des institutions québécoises et l’origine des enjeux actuels au moment où les jeunes adultes acquièrent le droit de vote renforce la formation citoyenne dont nous faisons la promotion depuis de nombreuses années », déclare Mme Thibodeau.
« La décision de confier à un comité-conseil de la formation générale, sur lequel siègeront des représentantes et des représentants des enseignants, constitue une reconnaissance sans équivoque du rôle important des profs, étant entendu que l’élaboration des contenus du cours sera le travail des experts de la discipline », affirme la vice-présidente de la FNEEQ. Elle ajoute que la FNEEQ participera à la consultation publique prévue dans la démarche annoncée par le Ministre.
Mme Thibodeau se réjouit du fait que la consultation porte sur l’enseignement de l’histoire dispensé aux ordres d’enseignement primaire, secondaire et collégial. « Cette décision, nous l’espérons, indique un premier pas vers une plus grande recherche de cohérence de tous les ordres d’enseignement. »
Enfin, la vice-présidente de la FNEEQ est d’avis que le délai pour l’implantation du nouveau cours, fixé pour les étudiants faisant leur entrée au cégep à l’automne 2014, bien que court, peut être respecté à la condition que des moyens particuliers de consultation et d’élaboration des contenus de cours soient mis en place.
La Fédération nationale des enseignants et des enseignantes du Québec (FNEEQ-CSN) regroupe quelque 33 000 membres, dans les cégeps, les établissements privés et les universités. La fédération regroupe, entre autres, 85 % des profs de cégep ainsi que le personnel de plusieurs établissements privés de l’ordre collégial. Affiliée à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), la FNEEQ est l’organisation syndicale la plus représentative de l’enseignement supérieur au Québec.
SOURCE FEDERATION NATIONALE DES ENSEIGNANTES ET DES ENSEIGNANTS DU QUEBEC (FNEEQ-CSN)
La Coalition pour l’histoire applaudit l’annonce de l’ajout d’un cours d’histoire nationale obligatoire au cégep et la réforme des cours d’histoire au primaire et au secondaire
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – Suite à la conférence de presse de Marie Malavoy, ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et de Pierre Duchesne, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, la Coalition pour l’histoire se réjouit de l’annonce qui a été faite aujourd’hui concernant l’ajout d’un cours d’histoire nationale à la formation générale collégiale et la réforme des cours d’histoire au primaire et au secondaire pour redonner à l’histoire nationale et politique toute la place qui lui revient.
« À la Coalition, nous sommes heureux que le gouvernement respecte son engagement électoral et son programme dans le dossier de l’enseignement de l’histoire et nous offrons au gouvernement notre entière collaboration pour mettre en œuvre le plus rapidement possible ces changements souhaités par la population » a déclaré Robert Comeau, historien et porte-parole de la Coalition.
Lors de la conférence de presse, Marie Malavoy a exprimé sa volonté de revoir la structure et l’orientation générale du programme d’histoire du Québec au niveau secondaire. Selon Robert Comeau, « il s’agit d’une excellente nouvelle pour les enseignants et les élèves qui réclament depuis longtemps la réintroduction d’une approche chronologique et un renforcement de la dimension politique de notre histoire ».
La Coalition salue également la nomination de Jacques Beauchemin comme responsable de la consultation sur les changements à apporter à l’enseignement de l’histoire au primaire et au secondaire. Monsieur Beauchemin est un chercheur reconnu et un intellectuel réputé très au fait des débats sur l’histoire au Québec, comme le montrent ses travaux. « Le fait de n’être ni un historien ni un didacticien nous semble un atout. Il disposera de la distance et de l’indépendance nécessaires pour analyser les différentes propositions qui lui seront soumises» a ajouté Robert Comeau.
Rappelons que la Coalition pour l’histoire regroupe notamment l’Association des professeures et professeurs d’histoire des collèges du Québec, la Fédération des sociétés d’histoire du Québec, la Fondation du Prêt d’Honneur, la Fondation Lionel-Groulx, le Mouvement national des Québécoises et des Québécois, la Société du patrimoine politique du Québec, la Société des professeurs d’histoire du Québec, la Société historique de Montréal, la Société historique de Québec, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et l’Union des écrivaines et des écrivains québécois.
SOURCE COALITION POUR L’HISTOIRE
La CSQ appuie le gouvernement du Québec dans sa démarche pour renforcer l’enseignement de l’histoire nationale
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) réagit favorablement à l’annonce conjointe de la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Marie Malavoy, et du ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, M. Pierre Duchesne. Ils ont présenté une démarche qui devrait mener au renforcement de l’enseignement de l’histoire nationale au primaire, au secondaire et au collégial. La CSQ collaborera de près avec les responsables de la consultation et elle invite ses membres à répondre à l’appel.
« Pour la CSQ, il est clair que le gouvernement a la responsabilité de mettre en œuvre l’enseignement de l’histoire du Québec dans le parcours scolaire des élèves. Nous sommes d’avis qu’il est tout à fait pertinent d’inclure une formation en histoire au niveau collégial à la condition de respecter l’intégrité de la formation générale et de consulter le personnel du milieu», a déclaré Mme Louise Chabot, présidente de la CSQ.
« L’enseignement de l’histoire ajoute une dimension essentielle dans la formation collégiale. Elle permet de mieux se situer dans le temps et dans l’espace afin de mieux comprendre les dynamiques et les enjeux contemporains. Il sera important de laisser la place à tous les groupes qui ont façonné le Québec, tant les autochtones, la lutte des femmes, des minorités sexuelles et celle du mouvement syndical, » a ajouté Mario Beauchemin, président de la Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ).
« Nous accueillons favorablement la démarche annoncée par la ministre. En effet, nous avons été extrêmement critiques des programmes d’histoire à leur arrivée. Nous avons interpellé le Ministère à plusieurs reprises et demandons des ajustements importants depuis 2008, de concert avec les enseignantes et enseignants en histoire qui y ont constaté des lacunes et des problèmes. On pense par exemple, pour le secondaire, au caractère redondant de la matière enseignée d’une année à l’autre et au manque de temps à consacrer à un programme surchargé. Il est donc primordial que le personnel enseignant soit associé à chacune des étapes de la démarche de consultation », a déclaré Mme Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ).
Primaire et secondaire
Le mandat de mener une consultation a été confié à M. Jacques Beauchemin et Mme Nadia Fahmy-Eid avec les acteurs du milieu éducatif et les professionnels du domaine de l’histoire. Ils seront invités à préciser les orientations qui mèneront à l’élaboration des nouveaux programmes d’histoire au primaire et au secondaire.
La FSE-CSQ trouve par ailleurs intéressant que le gouvernement envisage des projets pilotes plutôt qu’une implantation « mur à mur », permettant ainsi un espace pour les ajustements qui seraient à faire.
Collégial
Dans le contexte de l’ajout d’un cours obligatoire sur l’histoire nationale du Québec contemporain au collégial, le Comité-conseil de la formation générale aura le mandat de proposer au ministre les objectifs et les standards de formation qui pourront être associés à ce nouveau cours. Il devra aussi lui donner un avis sur la place que ce cours occupera au sein de la formation collégiale commune.
Profil de la CSQ
La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) représente près de 200 000 membres, dont près de 130 000 font partie du personnel de l’éducation. Elle est l’organisation syndicale la plus importante en éducation et en petite enfance au Québec. La CSQ est également présente dans les secteurs de la santé et des services sociaux, des services de garde, du municipal, des loisirs, de la culture, du communautaire et des communications.
Profil de la FSE-CSQ
La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) est la plus importante organisation d’enseignantes et d’enseignants de commissions scolaires du Québec. Elle représente plus de 60 000 enseignantes et enseignants à tous les secteurs d’enseignement, tant au préscolaire, au primaire et au secondaire qu’à la formation professionnelle et à l’éducation des adultes.
Profil de la FEC-CSQ
La Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ) est un regroupement de treize syndicats d’enseignantes et d’enseignants de cégep provenant de plusieurs régions du Québec. Fondée en 1968, la FEC-CSQ a toujours milité pour que les cégeps aient les moyens d’offrir aux étudiantes et aux étudiants une formation de qualité, préparatoire au marché du travail ou à l’université, tout en contribuant au développement de citoyennes et citoyens libres et autonomes.
SOURCE CSQ
L’histoire du Québec obligatoire au collégial: les professeurs d’histoire des collèges saluent l’annonce du ministre de l’Enseignement supérieur
MONTRÉAL, le 2 sept. 2013 /CNW Telbec/ – L’Association des professeures et des professeurs d’histoire des collèges du Québec (APHCQ) appuie la création d’un cours obligatoire d’histoire du Québec contemporain dans la formation collégiale, comme elle l’avait fait au terme d’une rencontre avec le ministre Pierre Duchesne le 6 juin dernier. Ce nouveau cours, dont l’APHCQ a souligné la pertinence à plusieurs reprises, viendra combler une lacune importante dans la formation des étudiants des collèges. L’APHCQ considère que les professeurs d’histoire sont en mesure d’assumer l’enseignement de ce cours dès son introduction à l’automne 2014.
SOURCE APHCQ
La Société des professeurs d’histoire du Québec appuie la démarche de réforme de l’enseignement d’histoire
LONGUEUIL, QC, le 3 sept. 2013 /CNW Telbec/ – La Société des professeurs d’histoire du Québec est heureuse d’apprendre que Mme Marie Malavoy, ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et M. Pierre Duchesne, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie passent à l’action avec l’annonce d’un processus de refonte des programmes d’histoire au primaire et au secondaire ainsi que de l’ajout d’un cours d’histoire du Québec au niveau collégial.
La SPHQ a, depuis plusieurs années, souligné les problèmes vécus par les enseignantes et enseignants dans l’application du nouveau curriculum en histoire nationale, principalement au deuxième cycle du secondaire. Cette annonce va dans le sens de nos revendications pour améliorer l’enseignement et l’apprentissage de l’histoire nationale en particulier et de l’histoire en général.
SOURCE Société des professeurs d’histoire du Québec (SPHQ)
Renforcement de l’enseignement de l’histoire : un pas dans la bonne direction – La FAE propose d’étendre l’examen à tous les programmes
MONTRÉAL, le 3 sept. 2013 /CNW Telbec/ – La Fédération autonome de l’enseignement salue l’initiative du gouvernement et invite ce dernier à étendre à tous les programmes d’enseignement du primaire et du secondaire la consultation qu’il vient d’annoncer sur le renforcement des connaissances incluses dans l’enseignement de l’histoire.
« C’est une excellente initiative, mais nous croyons que Québec devrait profiter de l’occasion pour élargir la démarche et faire en sorte que toutes les matières soient revues. C’est une question de gros bon sens », a commenté la vice-présidente à la vie professionnelle de la FAE, Nathalie Morel.
Elle a également fait valoir que l’exercice devrait aussi inclure une révision de l’approche par cycle qui a présentement cours dans les écoles. « Nous croyons qu’il faut rétablir le découpage d’enseignement par année d’études. Cela permettrait, notamment aux profs du secondaire, de mieux départager les contenus disciplinaires », de souligner Mme Morel.
Sur la consultation annoncée, la vice-présidente espère que le nouveau programme d’enseignement de l’histoire (incluant du matériel pédagogique mis à jour), qui devrait découler des résultats des travaux, sera livré assez longtemps à l’avance pour que le personnel enseignant ait le temps de se l’approprier. Mme Morel veut également que le choix de la mise en place des projets pilotes à l’automne 2014 revienne aux enseignantes et enseignants.
La FAE regroupe huit syndicats qui représentent quelque 32 000 enseignantes et enseignants (le tiers du personnel enseignant au Québec) du préscolaire, du primaire, du secondaire, du milieu carcéral, de la formation professionnelle, de l’éducation des adultes et le personnel scolaire des écoles Peter Hall et du Centre académique Fournier, ainsi que les membres de l’Association de personnes retraitées de la FAE (APRFAE).
SOURCE Fédération autonome de l’enseignement (FAE)