En tant que parent, préparer ses enfants en vue de la rentrée scolaire s’avère parfois un défi de taille. Après ces semaines de détente, que faire pour les aider à retrouver leur rythme? Voici quelques conseils pour favoriser une transition en douceur! À partager aux parents de votre école!
Prendre de l’avance sur la routine matinale.
En incitant l’enfant à se coucher plus tôt au moins une semaine avant le début des classes, il sera plus facile pour lui de se lever le matin pour aller à l’école. S’assoir avec l’enfant pour trouver des idées de déjeuners santé et rapides est aussi une bonne stratégie. Si l’enfant est assez vieux, on peut lui faire prendre l’habitude de préparer sa propre boîte à lunch.
Lire un livre tous les jours.
Proposez aux parents de fixer un moment précis chaque jour pour la lecture d’un livre, et de rendre cette activité amusante en établissant une période officielle de « temps en famille ». Par exemple, demander à votre enfant de lire un livre dont le sujet rappelle une activité estivale partagée en famille, comme aller à la plage, faire de l’équitation ou faire du camping. Mettre en valeur ces expériences d’apprentissage en organisant des séances de lecture à l’extérieur, en pique-nique ou sous un arbre.
Calmer la frousse qui accompagne la rentrée scolaire.
Il est naturel pour la plupart des enfants d’être nerveux avant le premier jour de l’année scolaire. Que ce soit en raison des nouveaux enseignants, des nouveaux amis, de la nouvelle école ou du nouvel horaire, l’anticipation d’une nouvelle année scolaire peut s’avérer déconcertante. Les parents sont invités à rappeler à leurs enfants leurs réalisations de la dernière année, ainsi que toutes les choses intéressantes qui les attendent cette année, à partir de l’apprentissage de nouveaux sujets jusqu’à la découverte de nouvelles activités parascolaires.
Faire le trajet entre la maison et l’école.
S’il y a lieu, il est important que les enfants se familiarisent avec le nouveau trajet, la nouvelle routine et le nouveau milieu scolaire. Faire un essai du nouvel horaire en organisant un événement surprise, comme un après-midi rempli des activités préférées de l’enfant, est une bonne façon de désamorcer le stress.
Encourager l’enfant à trouver un copain d’étude.
Avant la rentrée, l’enfant pourrait envisager la possibilité de trouver un copain d’étude pour l’année scolaire qui vient. Le fait d’avoir quelqu’un avec qui aller à la bibliothèque après l’école ou résoudre des problèmes de devoirs peut également l’aider à forger des relations positives et cordiales avec ses camarades.
Créer une « zone d’étude » à l’abri des distractions.
L’espace d’étude de l’enfant à la maison est-il devenu encombré durant l’été? Le moment est venu de s’organiser. Il s’agit de supprimer toute distraction (p. ex., les jeux) de la « zone d’étude » et de s’assurer que seules les nécessités de base comme du papier, des crayons, des gommes à effacer et d’autre matériel scolaire sont accessibles à l’enfant.
Ces conseils sont proposés par Kumon, un organisme d’aide scolaire en mathématiques et anglais.
On les connaît comme des lieux de transition entre le secondaire et l’université. Mais saviez-vous que les cégeps sont aussi des moteurs de recherche et d’innovation? Un nouveau rapport du Conseil supérieur de l’éducation révèle un visage méconnu de ces établissements, où étudiants et enseignants contribuent à faire avancer les savoirs… souvent bien plus près de chez vous que vous ne le croyez.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : un nouveau partenariat entre L’École branchée et l’AFT-RN pour renforcer la formation numérique en France et en Belgique, des jeunes beaucerons finalistes mondiaux en robotique à Singapour, une application albertaine qui transforme le temps d’écran en apprentissage des STIM, et le projet IA & Toi, à la recherche d’écoles dans la région de Québec. On parle aussi d’éducation aux changements climatiques, d’initiatives environnementales en milieu scolaire, d’un atelier familial sur la littératie financière, et d’un nouveau rapport sur la maternelle en immersion française.
Alors que les liens sociaux sont reconnus comme un pilier du bien-être, les jeunes adultes issus de milieux défavorisés doivent souvent composer avec des relations à la fois soutenantes et stressantes. Dans cet article de La Conversation, découvrez comment Jiseul Sophia Ahn et son équipe de l’Université de Montréal analysent, à travers une étude menée sur quatre ans, les effets du stress social, des dynamiques familiales et amoureuses et des difficultés économiques sur le bien-être des jeunes en transition vers l’âge adulte.
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