Le Défi des eaux canadiennes est un jeu participatif à travers lequel les jeunes Canadiens sont amenés à découvrir des histoires sur le thème de l’eau puis à sensibiliser le public sur différents enjeux.
En proposant cette initiative éducative, l’organisation Waterlution souhaite transformer les écoles du pays en espaces de conversation autour de l’eau et former les leaders de demain à des enjeux importants pour nos communautés. Le Défi des eaux canadiennes incite les jeunes de 9 à 18 ans à en apprendre davantage sur leur bassin versant, en s’impliquant dans leur communauté et en faisant des liens avec les programmes d’études sur l’eau.
C’est par la découverte de nombreuses histoires sur le passé des eaux que les jeunes parviendront à mieux comprendre comment ce passé influence leur avenir. De manière ludique et interactive, ces derniers se sensibiliseront et développeront une plus grande capacité à protéger leurs ressources hydrauliques.
Participer au Défi des eaux canadiennes, c’est relever une série de défis qui favorisent une prise de conscience de notre connexion personnelle et celle de notre communauté avec l’eau. Le Défi est divisé en deux niveaux, le niveau EXPLORATION qui se déroule entre le 16 octobre et le 22 décembre 2017 et le niveau CÉLÉBRATION qui se déroule entre le 8 janvier et le 22 mars 2018.
Le premier niveau inclut un atelier d’introduction, un défi sur l’eau ainsi qu’un défi sur la communauté. Le deuxième niveau comprend pour sa part un atelier de planification d’événement et d’engagement communautaire et se conclut par la création d’une célébration de l’eau dans l’école ou la communauté. Celle-ci doit impliquer les jeunes et les adultes dans la prise en charge de l’organisation d’une journée d’action, laquelle vise à initier des changements dans la communauté.
Les divers défis peuvent être soumis grâce à un blog, par courriel, via Googledrive ou un autre support.
En collaboration avec un Conseil consultatif jeunesse l’équipe de Waterlution soutient les écoles tout au long du Défi par des outils et des ateliers variés. Parmi ceux-ci, on retrouve des webinaires avec des invités experts, des glossaires terminologiques en ligne ainsi qu’une liste d’enjeux locaux au Canada. Ces différentes ressources renforcent l’acquisition par les jeunes de nouvelles compétences et visent à susciter leur curiosité.
Par ailleurs, une carte interactive en ligne illustre comment l’eau nous connecte tous, d’un océan à l’autre. C’est sur cette carte que les classes participant au Défi peuvent inscrire l’histoire unique de leur communauté, contribuant ainsi à enrichir l’expérience des prochains groupes.
Les classes participantes ont la possibilité d’être mis en réseau avec des équipes scolaires de partout au pays grâce à des appels virtuels. Finalement, les groupes peuvent soumettre des photos et vidéos de leur célébration de l’eau et ainsi courir la chance de gagner de superbes prix.
Pour obtenir plus d’information, pour lire des témoignages d’enseignants et pour inscrire votre classe avant le 16 octobre, visitez le site internet : http://waterlution.org/GWC/french/.
Après six mois d’auditions, de consultations citoyennes et d’analyses approfondies en France, la commission d’enquête sur les effets psychologiques de TikTok sur les mineurs a rendu un rapport accablant. Le document de plus de 300 pages pointe une série de dérives profondes liées à la plateforme chinoise, considérée comme « l’un des pires réseaux sociaux à l’assaut de notre jeunesse ».
Communiqué – Pour une 6e année consécutive, le Printemps numérique a orchestré les MTL Tech awards lors de son événement annuel MTL connecte. L’édition de cette année a atteint son apogée le 30 octobre dernier à la Société des arts technologiques, lors d’une cérémonie de remise des prix empreinte d’enthousiasme et de réalisations impactantes.
Faut-il vraiment réduire le temps d’écran des jeunes? Selon des chercheurs québécois, la solution passe plutôt par l’éducation à un usage plus équilibré. Une étude menée auprès de 571 adolescents révèle qu’ils sont conscients des effets négatifs de l’hyperconnectivité et prêts à changer… à condition qu’on les écoute. Plutôt que d’imposer des règles, il est essentiel de les inclure dans la réflexion et de miser sur l’autorégulation, la bienveillance et des alternatives significatives.
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