Nous remercions Ginette Bourque, leadeur en pédagogie active, consciencieuse et inclusive avec spécialité en pédagonumérique, au District scolaire francophone Sud du Nouveau-Brunswick, qui a fourni les images et les textes.
Tel que mentionné sur le site du Congrès IDÉE 2025, « depuis vingt ans, le mouvement de l’École communautaire entrepreneuriale a semé les graines d’un entrepreneuriat conscient, engageant les éducateurs, les jeunes et leurs communautés à s’entreprendre pour contribuer à un monde meilleur. Ce 20ᵉ anniversaire a été l’occasion de célébrer le parcours de ce mouvement et de réaffirmer l’importance d’une éducation à la conscience et à la durabilité de même qu’à la responsabilité individuelle et collective. »
Le Congrès IDÉE 2025 se voulait donc une rencontre de partage et de réflexion où les expériences, les apprentissages et les initiatives inspirantes des deux dernières décennies ont été mises en lumière.
L’un des moments marquants du Congrès IDÉE a été la remise du Prix international Paul-Gérin-Lajoie : Entrepreneur d’école à Alain Poitras, directeur exécutif à l’apprentissage du District scolaire francophone Sud. Cette distinction prestigieuse, décernée par Idée éducation entrepreneuriale, a été soulignée par une atmosphère chargée d’émotion.
Le personnel de l’école Abbey-Landry a reçu une reconnaissance Quasar de la part d’Idée éducation entrepreneuriale. Cette distinction souligne leur performance remarquable en matière d’innovation entrepreneuriale consciente, responsable et ancrée dans la communauté.
Le Congrès a débuté par une visite de kiosques animés par des élèves provenant de différentes écoles. Parmi eux, des élèves de quatrième année de la classe de Kim Levesque, de l’école Claudette-Bradshaw, étaient présents, accompagnés de Zoé Boudreau, alliée pédagogique. Les élèves ont conçu des applications destinées à soutenir l’apprentissage de la lecture chez les enfants de la maternelle ainsi que chez les nouveaux arrivants. Un projet porteur qui offre un réel service à la communauté scolaire.
À l’école Les Bâtisseurs, un projet de balados a été mis en place afin de faire connaître les cultures des nouveaux arrivants.
À l’école Le Sommet, un projet de compostage a été développé sous le thème « De la cafétéria au jardin ».
Lucette Hachey Laskey et ses élèves de deuxième année de l’école Amirault ont réalisé des films à la demande du maire de la ville. Ces productions visent à aider les nouveaux arrivants à mieux connaître la municipalité ainsi que les activités qu’elle propose.
Accompagnés de leur enseignante, Mme Lucette Hachey Laskey, les élèves ont présenté un projet de films destiné à appuyer le travail du maire de leur communauté. Ces réalisations ont également pour objectif de faire découvrir la municipalité aux nouveaux arrivants.
À l’école Sainte-Thérèse, les élèves du groupe des Tricopains tricotent pour venir en aide à la communauté, et ce, pour toutes les occasions.
À l’école Carrefour de l’Acadie, des élèves conçoivent des jouets destinés à des enfants hospitalisés.
Josée Levesque, organisatrice du Congrès du DSF-Sud, s’est entretenue avec le comité d’accueil de l’école Anna-Malenfant.
Le comité d’accueil de l’école Abbey-Landry.
À l’école Abbey-Landry, les élèves de François LeBlanc s’occupent de la réparation des bicyclettes appartenant aux membres de la communauté.
Ce projet entrepreneurial a vu le jour lorsque les jeunes apprenants de maternelle ont voulu comparer leur vécu et la vie d’autrefois. La brillante idée d’inviter son grand-parent à l’école s’est alors développée lors de plusieurs échanges de collaboration et de découverte. Étant initiateurs, réalisateurs et gestionnaires, les élèves se sont donné comme mission de rendre le projet inclusif en invitant des apprenants de tous les niveaux. Ils participent donc tous à l’évolution de départ: recevoir son grand-parent à l’école dans le but de lui faire vivre la maternelle que nous connaissons de nos jours.
Cet élève assure régulièrement l’animation à sa station de radio communautaire.
Ces élèves organisent une visite guidée du verger de pommiers de leur communauté.
L’école Camille-Vautour compte de nombreux partenaires communautaires et un partenariat bidirectionnel est en cours de développement entre la municipalité et l’établissement scolaire.
La classe de 5e année de Mme Annette Goguen contribue à la protection de l’environnement de plusieurs façons.
Les apprenants s’occupent des animaux de la SPCA pour leur offrir un meilleur environnement.
Les apprenants de 6e année de Mme Manon Richardson sont présents un peu partout dans l’école. Autonomes, ils se consacrent activement à leurs projets.
Des élèves élaborent le plan du jardin en collaboration avec un partenaire communautaire.
L’école Blanche-Bourgeois dispose d’un comité d’accueil particulièrement dynamique.
La classe de 6e année planifie la construction d’une serre à l’école Blanche-Bourgeois.
Une maquette interactive a été conçue afin de faire connaître les partenaires et les entreprises de la communauté.
Les lauréats du concours Ciné-Relève.
L’un des projets ayant particulièrement retenu l’attention est une série de vidéos intitulée « Mardi Stratégie », réalisées par une élève. Ces capsules, qui présentent diverses stratégies de lecture, sont diffusées sur YouTube afin de soutenir la communauté scolaire, tant localement qu’ailleurs.
Dans cette classe d’art de l’école Clément-Cormier, des designs de t-shirts sont créés en collaboration avec un aîné, dans le but de mettre en valeur la communauté autochtone voisine.
Ces projets multidisciplinaires invitent les élèves à étudier un pays et à proposer une solution à un enjeu local.
À l’école Notre-Dame, une collation santé était offerte aux visiteurs, qui ont également eu l’occasion d’assister à une compétition de robotique.
La soirée s’est ouverte avec Mathieu Gingras et s’est conclue avec Mathias Goguen, deux conteurs d’exception qui, chacun à leur manière, ont su faire découvrir et apprécier l’Acadie.
Le groupe de musique country acadien Moyenne Rig a su enflammer la salle, suscitant un vif enthousiasme parmi les participants.
