Vous doutez encore de l’intérêt des petits pour la technologie? Les entreprises, elles, n’en doutent pas et de plus en plus de produits sont destinés aux bambins. La prochaine génération sera plus branchée que jamais!
Une étude réalisée l’an dernier par l’éditeur d’antivirus AVG auprès de 2200 mères d’enfants de 2 à 5 ans d’une dizaine de pays révèle des statistiques surprenantes. Près de 70 % des petits savent utiliser une souris, 58 % peuvent jouer à des jeux d’ordinateur simples et 28 % arrivent à passer un appel sur un téléphone cellulaire.
Récemment, le quotidien La Presse rapportait une augmentation importante du nombre d’enfants américains qui s’amusent à des jeux vidéo, notamment ceux disponibles en ligne. La plus forte croissance a été enregistrée chez les petits de moins de 5 ans! Environ 90 % des jeunes canadiens de 6 à 12 ans s’amusent avec des jeux vidéo, selon l’Association canadienne du logiciel de divertissement. Les jeux de rôle sont les plus populaires chez les fillettes et ceux de course arrivent en tête chez les garçons.
Pas surprenant, donc, que des appareils adaptés aux enfants voient aussi le jour. Par exemple, Toshiba a lancé ce mois-ci un ordinateur portable spécialement conçu pour les jeunes utilisateurs. L’entreprise française VideoJet a pour sa part lancé une tablette numérique pour les enfants de 6 à 12 ans, le Kids PAD.
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Derrière le geste banal de faire défiler des flux d’actualités se cache un phénomène nommé le « défilement anxiogène », ou « doomscrolling ». Cette habitude numérique, qui fait l’objet de cet article de La Conversation, décrit notre tendance à plonger dans un flot ininterrompu de nouvelles négatives. Un mot qui éclaire autant nos biais cognitifs que notre rapport aux technologies… et qui nous invite à reprendre le contrôle de notre attention.
Voici vos #Édubrèves cette semaine! Au menu : une série d’événements sur l’intelligence artificielle en éducation du Réseau EdCan en partenariat avec l’École branchée, un webinaire du CRIFPE sur la mise à jour du Cadre de référence de la compétence numérique, et un festival numérique international, Barak@TIC 2025, pour la francophonie enseignante. Du côté du Québec, on découvre le Musée des médias des As de l’info, une communauté de pratique pour l’évaluation en CCQ, les Journées de la persévérance scolaire, et des ressources festives signées Alloprof et Curio. En vedette aussi : le Sommet pancanadien sur l’éducation artistique, une mise à jour d’Antidote et le Prix Roberval 2025. Bonne lecture!
Et si programmer, c’était simplement apprendre à penser autrement? Avec son ton bienveillant et ses exemples du quotidien, cet enseignant montre que derrière chaque action — préparer un café, suivre une recette, résoudre un problème — se cache déjà un algorithme. Son objectif : apprivoiser la programmation et donner à chacun, enseignant ou non, le goût d’explorer la logique qui guide nos gestes.
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