La démocratisation de l’intelligence artificielle générative s’accompagne de la parution de différents guides et cadres de référence en IA. Gouvernements et organisations proposent des pistes pour encadrer, ou du moins orienter, les différentes façons d’utiliser les outils d’intelligence artificielle, notamment en éducation. Voici quelques-unes de ces initiatives, suivies d’une analyse de leurs points de convergence et de divergence effectuée par… une IA!
Nous vous recommandons aussi de consulter notre coffre à outils et ressources sur l’intelligence artificielle!
Au niveau mondial :
Au Canada :
Des articles sur d’autres initiatives provinciales en développement :
Ressources et programmes de cours intégrant l’IA :
En France
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Pour examiner les points communs et les différences entre les différentes recommandations officielles, nous avons demandé à l’intelligence artificielle générative ChatGPT 4 d’analyser les cadres de référence actuels du Québec, du Nouveau-Brunswick et de la Colombie-Britannique en les comparant aux référentiels de l’UNESCO.
Voici la requête : « Agis comme un recherchiste-analyste. En consultant les référentiels de compétences de l’UNESCO ainsi que les différents guides d’usage de l’IA en éducation des provinces canadiennes ci-joints, relève les points communs et les éléments qui divergent. »
La réponse de l’IA :
Voici les points communs et les divergences entre les référentiels de compétences de l’UNESCO et les guides d’utilisation de l’IA en éducation des provinces canadiennes :
Ces documents montrent une convergence vers une reconnaissance de l’importance de l’IA dans l’éducation, tout en mettant en évidence des approches variées quant à l’ampleur de son intégration et l’accentuation de certaines compétences spécifiques.
Crédit photo : Image par Vicki Hamilton de Pixabay
Dans un quotidien scolaire où la charge organisationnelle peut freiner l’élan créatif, les outils numériques offrent des leviers concrets pour mieux planifier l’enseignement. En Montérégie, la plateforme Catapulte permet d’organiser des projets culturels en milieu scolaire avec efficacité, tout en ouvrant une porte vers un riche réseau d’artistes, d’écrivain(e)s et d’organismes.
Lors du plus récent congrès de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF), Josée Lévesque, gestionnaire du développement communautaire et de la vie-carrière au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick, a animé un atelier intitulé « L’apprentissage expérientiel : un levier puissant pour une école au cœur de sa communauté ». On vous partage nos notes!
Début octobre, le congrès annuel de l’ACELF a réuni à Markham, en Ontario, une communauté éducative francophone engagée, venue de partout au Canada. L’événement a offert un espace de rencontre, de réflexion et d’inspiration, où jeunes, enseignants et professionnels ont exploré des pratiques innovantes, célébré leur langue et partagé leur fierté identitaire. Voici un aperçu de l’énergie qu’il y avait dans « l’ère ».
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