Pour souligner les efforts des classes, la Dictée P.G.L. et Nanomonx s’associent afin de faire tirer des abonnements de La Constellation de l’Ours parmi les participants des finales régionales. L’élève gagnant et sa classe bénéficieront d’un abonnement valide pour cette année scolaire et la suivante. Lors de la Grande finale internationale du 17 mai, les finalistes courront aussi la chance de gagner un des huit abonnements qui seront offerts.
Partageant des valeurs telles que la promotion de la langue française et l’innovation, La Dictée P.G.L. et Nanomonx combinent ainsi leurs efforts pour souligner l’importance des enseignants dans cette démarche. « La prise en compte des technologies numériques dans l’apprentissage du français favorise un apprentissage différencié, ludique et stimulant », précise Nagui Rabbat, directeur de La Dictée P.G.L.
Nanomonx est une jeune entreprise montréalaise spécialisée dans le développement de technologies éducatives. Son produit phare, La Constellation de l’Ours, est un jeu de création de mondes et d’histoires qui vise à motiver les élèves à écrire. Utilisée dans de nombreuses écoles francophones au Québec et ailleurs au Canada, l’application propose entre autres des mécanismes de rétroaction personnalisée.
La Dictée P.G.L. a mobilisé plus de 7 000 000 de jeunes des deux côtés de l’Atlantique depuis sa création en 1991. Elle donne notamment aux élèves la possibilité de participer à une compétition qui aboutit chaque année à une Grande finale internationale télévisée pour les élèves de 5e et 6e année et à une Grande finale nationale pour les élèves de 1er cycle du secondaire. Ce projet veut valoriser la langue française et ouvrir des fenêtres sur le monde dans le but de favoriser une meilleure connaissance de l’autre, la solidarité, le partage, le goût d’apprendre et d’entreprendre, afin que les jeunes puissent « écrire un monde meilleur ».
source : communiqué
À l’heure où les appels à interdire les réseaux sociaux pour les mineurs se multiplient, Claire Berlage, présidente du Conseil supérieur de l’Éducation aux médias (CSEM) de la Fédération Wallonie-Bruxelles, plaide pour une approche fondée sur le dialogue, la prévention… et la confiance.
L’usage du numérique et de l’intelligence artificielle (IA) à l’école exige aujourd’hui plus qu’une simple réglementation : il appelle une réflexion éthique partagée, qui inclut aussi la famille. Pour aider les milieux scolaires à mettre en place un cadre clair et mobilisateur, L’École branchée propose une série de ressources simples et concrètes. Les aviez-vous déjà lues? Sinon, voici un rappel!
Imaginer des technologies qui n’existent pas encore pour interroger le monde d’aujourd’hui : c’est le pari du « design fiction ». En croisant narration, créativité et esprit critique, cette approche innovante s’invite peu à peu dans les salles de classe. Allons voir de plus près.
Pour commenter un article et y ajouter vos idées, nous vous invitons à nous suivre sur les réseaux sociaux. Tous les articles y sont publiés et il est aussi possible de commenter directement sur Facebook, X, Instagram, Bluesky ou LinkedIn.
Sauf dans les cas où la licence est expressément indiquée, il n’est pas permis de reproduire les articles de l’École branchée. Toute demande de reproduction doit être adressée directement à l’organisme.
Dans son processus éditorial, notre équipe fait appel à des technologies intégrant l’intelligence artificielle pour améliorer les textes, entre autres par la reformulation de passages, la révision linguistique, la traduction et la synthèse des idées. Tous les textes sont révisés par des humains avant leur publication.
