Bien que le thème de la persévérance scolaire soit bien documenté, l’École branchée a voulu jeter un regard nouveau en tenant compte de la situation actuelle et en traitant des déterminants associés à l’école en particulier.
Du 4 au 6 novembre dernier, plus de 1500 personnes ont participé à la 3e édition des Grandes rencontres sur la persévérance scolaire, qui se tenaient à Montréal. En cours de congrès, la directrice générale du Réseau Réussite Montréal, Andrée Mayer-Périard, nous a brossé l’état de la situation.
(Communiqué, UQAM) - Les jeunes de 16-20 ans qui retournent aux études ont besoin d'accompagnement pour réussir là où ils ont échoué auparavant. Ce sera une des idées fortes discutées lors d’un colloque international qui sera tenu à l’UQAM les 1er et 2 novembre.
Un plaidoyer en faveur d’une plus grande équité pour contrer le décrochage a été publié récemment par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).
« Malgré tous ces efforts, le décrochage demeure une plaie aussi vive. […] Une plaie qui s’attaque souvent aux enfants pauvres », écrit l’ancien commissaire scolaire et psychologue Robert Cadotte dans son essai l’essai intitulé Lettre aux enseignantEs lancé la semaine dernière.
(Communiqué) L'Ordre des conseillers et conseillères d'orientation du Québec (OCCOQ) a procédé récemment à la mise en ligne de « L'Espace virtuel pour les parents », un tout nouveau site conçu spécialement pour répondre clairement et concrètement aux préoccupations des parents, une initiative à laquelle s'est associée la Fédération des comités de parents du Québec (FCPQ).
La Fondation Mobilys propose de mobiliser les entreprises et les citoyens via les médias sociaux pour lutter contre le décrochage. La ministre de l’Éducation, Line Beauchamp, lui a octroyé cette semaine 1,5 million $ sur trois ans pour mener à bien sa mission.
Le taux de diplomation des garçons à 17 ans s’établit à 49,1 % comparativement à 62,2 % chez les filles. Pour remédier à la situation, la Fédération des syndicats de l’enseignement et la Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec jugent qu’il faut miser sur la lecture et l’écriture. Les principales difficultés des élèves ayant des problèmes d’apprentissage relèveraient à 90 % de la lecture et de l’écriture, font-ils valoir.
TORONTO, le 28 avril /CNW/ - La pauvreté de la population autochtone québécoise est extrême, et le profond fossé qui sépare le niveau d'éducation des Autochtones de celui des non Autochtones en est la cause principale, selon les conclusions d'un rapport de l'Institut C.D. Howe.
En 2003, la Commission scolaire Eastern Townships faisait le pari d’améliorer la réussite de ses élèves grâce à la technologie. Huit ans et 5600 ordinateurs portables plus tard, l’initiative a porté fruit.