Par Michel Arsenault, enseignant d’histoire et d’espagnol à l’École secondaire Saint-Jean-Eudes
Le 12 avril 2024, le Forum international pour la paix, la sécurité & la prospérité (FIPSP), l’École supérieure d’études internationales de l’Université Laval, l’Association des ancien(ne)s des Collèges militaires royaux du Canada (ACMRC) et la Fondation des Voltigeurs de Québec ont présenté un colloque sur la paix et la sécurité durables, une réflexion sur le principe de la Paix positive et sur les huit piliers qui la soutiennent.
Pour ce forum virtuel, la décision avait été prise par le comité organisateur de recourir à Google Meet. Le tout s’est bien déroulé et aucun problème technique n’a été rencontré pendant toute la durée de l’événement.
Richard Giguère, général à la retraite des Forces armées canadiennes qui enseigne à l’École supérieure d’études internationales de l’Université Laval, de même que huit de ses étudiants du 2e cycle en science politique et en relations internationales, se sont respectivement chargés de prononcer la conférence d’ouverture et d’animer des groupes de discussion. Nous tenons à les remercier chaleureusement de nous avoir fait vivre cette si belle expérience. Félicitations à tous nos élèves pour leur préparation adéquate à cet événement et pour leur dynamisme pendant les échanges!
Également, pour l’occasion, le colonel Marc Grondin (ret.) et Steve Gregory, tous deux du Forum international pour la paix, la sécurité et la prospérité, sont venus à notre école afin de remettre à Hedi Manai, élève de 5e secondaire, et ce, en présence de Sébastien Lavoie, directeur général de Saint-Jean-Eudes, le prix qu’il a récemment remporté pour sa 3e position dans la catégorie « Essais » du concours du FIPSP. Le 20 mars dernier, Hedi a d’ailleurs pu présenter son essai, en ligne, lors du troisième panel de la 4e édition du FIPSP, qui s’est tenue à Palerme en Sicile.
Rappelons qu’il n’y a pas si longtemps, la possibilité de réunir des élèves d’écoles secondaires différentes dans le cadre d’un forum virtuel ne nous aurait probablement même pas effleuré l’esprit! La tenue d’un tel forum n’aurait alors été possible qu’en présentiel et aurait certainement comporté un bien plus grand nombre de défis logistiques.
Dans un quotidien scolaire où la charge organisationnelle peut freiner l’élan créatif, les outils numériques offrent des leviers concrets pour mieux planifier l’enseignement. En Montérégie, la plateforme Catapulte permet d’organiser des projets culturels en milieu scolaire avec efficacité, tout en ouvrant une porte vers un riche réseau d’artistes, d’écrivain(e)s et d’organismes.
Lors du plus récent congrès de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF), Josée Lévesque, gestionnaire du développement communautaire et de la vie-carrière au District scolaire francophone Sud (DSFS) du Nouveau-Brunswick, a animé un atelier intitulé « L’apprentissage expérientiel : un levier puissant pour une école au cœur de sa communauté ». On vous partage nos notes!
Début octobre, le congrès annuel de l’ACELF a réuni à Markham, en Ontario, une communauté éducative francophone engagée, venue de partout au Canada. L’événement a offert un espace de rencontre, de réflexion et d’inspiration, où jeunes, enseignants et professionnels ont exploré des pratiques innovantes, célébré leur langue et partagé leur fierté identitaire. Voici un aperçu de l’énergie qu’il y avait dans « l’ère ».
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