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Placer la culture au cœur de l’école, c’est donner du sens aux apprentissages et nourrir le plaisir d’apprendre. Lors du colloque de l’École en réseau 2025, le professeur Martin Lépine a invité le personnel enseignant à faire goûter la culture sous toutes ses formes aux élèves. Il propose pour cela un P.a.c.t.e. culturel, une approche concrète pour tisser des liens vivants entre culture et réussite éducative.

Le 26 septembre 2025, l’École en réseau (ÉER) a tenu son colloque annuel sous le thème : Quand l’information devient culture. Rassemblant des enseignantes et enseignants de tous les cycles, des conseillères et conseillers pédagogiques, ainsi que des partenaires culturels et numériques, cette journée a permis de réfléchir à la manière d’enrichir les pratiques d’enseignement grâce à la médiation culturelle et au développement de la culture informationnelle.

Au Centre de services scolaire Marie-Victorin (CSSMV), la rétroaction occupe une place centrale dans le plan de développement professionnel du personnel, mis en œuvre depuis l’année scolaire 2022-2023. C’est dans ce contexte qu’est né le Salon de la rétroaction, un projet novateur qui vise à faire passer les enseignantes et enseignants de la théorie à la pratique, en leur offrant des exemples concrets et variés de rétroactions, numériques ou non.

Grâce à son rôle de leader pédagonumérique et aux formations de l’Académie des leaders, une enseignante de Saint-Martin a repensé sa façon d’évaluer en misant sur une rétroaction plus humaine, efficace… et numérique. Résultat : des élèves plus engagés et une pratique d’enseignement transformée.

L’an dernier au Québec, des élèves de 8 à 10 ans ont relevé un défi technologique et créatif d’envergure : concevoir un parcours de mini-golf interactif intégrant des micro:bits. Ce projet novateur est né de la communauté de pratique (CoP) Micro:bit, mise en place par l’École en réseau en collaboration avec le RÉCIT MST, qui a permis aux participants d’imaginer puis de concrétiser cette activité originale. On vous en dit plus!

Malgré une forte motivation à enseigner, près de la moitié des étudiantes et étudiants songent à abandonner leur formation. C’est la conclusion principale de l’enquête menée au Québec sur la formation à l’enseignement. Réalisée auprès de près de 3 000 répondants par le CRIFPE, cette étude révèle un engagement marqué envers la profession, mais aussi la grande fragilité des parcours, marqués par des défis personnels, académiques et financiers. Les résultats invitent à une réflexion collective sur les conditions de formation et les moyens de mieux soutenir la relève enseignante.

Dans une classe de 5e secondaire, la création d’un balado True Crime est devenue bien plus qu’un simple projet médiatique. Grâce au numérique, l’activité a permis de travailler l’écriture et l’oral tout en favorisant l’inclusion et la différenciation pédagogique. L’enseignante, Claudine Grenier, a pu offrir des rétroactions rapides, suivre les progrès et adapter son accompagnement. Résultat : des élèves engagés, motivés et fiers de leurs apprentissages.

Une nouvelle étude, menée auprès de directions d’établissement d’enseignement français, fait un double constat : la crise sanitaire a bel et bien accéléré l’usage des outils numériques, mais leur implantation demeure inégale et parfois improvisée. Bien que l’étude ait été réalisée en France, ces observations et recommandations s’appliquent à la majorité des systèmes éducatifs dans le monde.

Assister à un atelier lors d’un congrès peut faire germer de grandes idées. C’est ainsi qu’est née la form’ACTION, une initiative collaborative qui mise sur le numérique pour rendre l’enseignement des sciences et technologies plus inclusif et engageant. Résultat : douze activités prêtes à l’emploi dès maintenant… et une nouvelle cohorte attendue en décembre. On vous en dit plus ici!

Dans une école montréalaise, un projet novateur allie intelligence artificielle et pédagogie inclusive pour accompagner des élèves de 6ᵉ année — dont plusieurs présentent des difficultés d’apprentissage — dans l’amélioration de leurs textes descriptifs. En transformant leurs mots en images, l’IA agit comme un outil de rétroaction visuelle, favorisant la révision, l’engagement et la confiance des élèves en écriture. On vous en dit plus ici!