(section précédente) À force d’envoyer des messages texte de leur téléphone, les jeunes ont développé une rapidité certaine… et un langage bien à eux. Cette façon d’écrire contamine aussi les
(section précédente) L’arrivée rapide et la popularité fulgurante des médias sociaux ont amené de nombreuses commissions scolaires à se positionner quant à leur utilisation. Certaines, comme la Commission scolaire des
(section précédente) Les profs devraient-ils être amis Facebook avec leurs élèves? L’État de la Virginie estime que non et suggère de limiter les communications électroniques aux plateformes hébergées par l’école
(section précédente) Conclusion Utiliser ou non les médias sociaux en classe? La question ne fait pas l’unanimité chez les enseignants. Même les futurs profs nés avec une souris dans les
Facebook compte 500 millions d’utilisateurs de par le monde. Twitter en dénombre 175 millions. Chaque minute, vingt-quatre heures de vidéo sont mises en ligne sur YouTube. En 2010, plus des trois quarts (78 %) des internautes québécois ont fréquenté ou ont contribué au contenu d’au moins un média social, selon le CEFRIO. Le réseau de l’éducation n’échappe pas à cet engouement. Certaines commissions scolaires se sont lancées dans l’aventure. D’autres hésitent toujours. Mais toutes s’entendent pour dire qu’on ne peut plus ignorer cette nouvelle réalité.
(section précédente) L’étiquette « média social » peut être apposée sur une foule d’outils. Du moment où on parle de création et d’échange de contenu par les utilisateurs en ligne, nous sommes
