Au Québec, en 2006, le tiers des jeunes âgés de 16 à 25 ans ne possédait pas l’habileté minimale en littératie pour composer avec les exigences du quotidien et du travail. Or, prévenir les difficultés d’apprentissage dès l’âge d’un an pourrait aider les enfants à ne pas faire partie de cette statistique.