« Au-delà de ce profond attachement des Québécois envers ce produit, l’industrie acéricole demeure un moteur important pour l’économie de la province.»
Source : La Presse
En effet, cela fait des milliers d’années que le sirop d’érable est produit et la façon de le transformer s’est grandement améliorée afin d’automatiser certains processus et de pouvoir augmenter les profits reliés à la transformation. Même si plusieurs acériculteurs utilisent encore la voie traditionnelle de récolte à l’aide de saut et d’une bouilleuse qui se remplit à la chaudière, d’autres optent pour un système d’entailles reliées à des tuyaux qui font circuler le tout directement dans la bouilleuse qui peut contenir plusieurs litres d’eau d’érable à la fois.
« Pour une récolte optimale, les érablières ont besoin d’une température avoisinant les sept degrés Celcius le jour et – 5 degrés Celcius la nuit. La période de récolte s’étire généralement sur quelques semaines en mars et en avril, en fonction de la météo et des régions. En 2017, les acériculteurs du Québec avaient établi un nouveau record en produisant 152,2 millions de livres de sirop d’érable. »
Source : TVA Nouvelles
Pour en apprendre davantage, voici un documentaire qui démontre bien chacune des étapes nécessaires à la fabrication du sirop d’érable.
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