Élu à la tête de l’Église catholique romaine le 13 mars 2013, le Pape François célèbre cette semaine cinq années à la tête de la Curie romaine. Cinq années pleines d’optimisme pour certains, mais qui n’ont fait que démontrer l’incapacité de l’Église à se moderniser pour d’autres.
« Le pape François, qui fête dans deux semaines ses cinq ans de pontificat, a assisté cette semaine à une réunion de sa garde rapprochée qui l’aide à réformer en profondeur le Vatican, mais la conclusion de ces vastes chantiers n’est pas encore à l’horizon. En décembre, lors de ses traditionnels voeux à la Curie (gouvernement du Vatican), le pape avait admis que la “réformer” revenait à “nettoyer le sphinx d’Egypte avec une brosse à dents”. »
Source : France24.com
« Le 16 janvier, le pape François témoignait devant quatre-vingt-dix jésuites chiliens que « la grande paix » éprouvée par lui au moment où il a compris qu’il allait être élu pape “ne [l]’a[vait] pas quitté” depuis. Deux mois plus tard, pourrait-il encore l’affirmer ? Car depuis ce premier jour du voyage qui l’a conduit au Chili et au Pérou, s’est ouverte la crise la plus violente de son pontificat, cinq ans après son élection, le 13 mars 2013. »
Source : Le Monde