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Écrans et santé des jeunes : des recommandations ciblées pour le milieu scolaire

La Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé mentale des jeunes (CSESJ) a rendu public son rapport final à la fin mai 2025. Celui-ci propose une série de recommandations afin de mieux encadrer l’usage des écrans et de soutenir la santé mentale et le développement global des élèves. Voici un aperçu des mesures à l’intention du milieu scolaire.
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Table des matières

L’Assemblée nationale du Québec avait créé cette commission parlementaire le 6 juin 2024 pour étudier les enjeux liés, entre autres, au temps que les jeunes consacrent aux écrans, aux mesures d’encadrement de ces derniers, notamment à l’école et sur le Web et à la cyberintimidation, y compris le partage de matériel sexuellement explicite. Les travaux de la CSESJ se sont déroulés à l’automne 2024 et au printemps 2025 au Québec.

L’École branchée avait suivi attentivement les travaux et vous avait rapporté plusieurs des témoignages des experts entendus. Un rapport intérimaire avait été publié à la fin du mois d’avril. Celui-ci recommandait l’interdiction des téléphones intelligents sur le terrain des établissements d’enseignement. La publication de ce rapport avait été suivi par l’annonce de la mise en place de cette recommandation dans les écoles dès la rentrée 2025. Le rapport final a été publié à la fin mai. 

« Ce rapport met en lumière le rôle déterminant que nous pouvons jouer collectivement dans la protection des jeunes en agissant de façon concertée et sur plusieurs fronts. Nos recommandations encouragent notamment la sensibilisation des jeunes et des adultes aux conséquences de l’exposition aux écrans, le développement d’un esprit critique face aux usages numériques et la mise en œuvre de mesures d’encadrement claires pour prévenir les méfaits en ligne. Par ailleurs, ce rapport ne se veut pas une fin en soi. Il nous invite comme société à poursuivre la réflexion et les démarches en vue de faire du temps d’écran et de la protection des jeunes des préoccupations de tous les instants. »

— Le comité directeur de la Commission.

Le rapport est divisé en plusieurs sections : 

  • Les écrans et les jeunes
  • Les écrans à l’école
  • Les réseaux sociaux
  • Les jeux vidéos
  • L’exposition au contenu en ligne

Ci-bas, nous vous présentons les recommandations de la section Les écrans à l’école. Néanmoins, nous encourageons nos lecteurs à s’intéresser également aux autres sections du rapport. 

Les écrans à l’école

L’interdiction des appareils mobiles individuels en classe

En janvier 2024, une directive ministérielle est entrée en vigueur au Québec interdisant l’utilisation des appareils mobiles personnels en classe dans les écoles publiques, sauf pour des raisons pédagogiques, de santé ou liées à des besoins particuliers. Les conseils d’établissement doivent encadrer cette interdiction, qui ne s’applique pas aux écoles privées. La majorité des élèves appuient cette mesure, reconnaissant que les cellulaires nuisent à la concentration. Une revue de l’INSPQ révèle que même un téléphone éteint sur un bureau peut affecter la mémoire de travail. Les recherches suggèrent que les effets négatifs de la distraction numérique sont encore plus marqués chez les jeunes. L’interdiction a été bien accueillie par les acteurs du milieu scolaire, incluant les syndicats, qui soulignent toutefois l’importance de fournir aux écoles les moyens d’en assurer l’application. La directive est perçue comme un levier pour favoriser un meilleur climat d’apprentissage en classe.

L’interdiction des appareils mobiles individuels à l’école

Lors de visites dans divers établissements, les membres de la Commission ont constaté que l’utilisation des téléphones portables est nettement plus répandue au secondaire qu’au primaire : environ 80 % des élèves secondaires en possèdent contre 50 % à la fin du primaire. Des experts et enseignants ont recommandé d’interdire les appareils mobiles dans tous les espaces scolaires, y compris la cafétéria et la cour, pour réduire le temps d’écran, favoriser les activités physiques et renforcer les interactions sociales. 

Selon le Programme de formation de l’école québécoise, la socialisation est un objectif central de l’école et les cellulaires entravent cette mission en isolant les élèves, comme l’illustre le témoignage d’un élève disant que ces appareils constituent « une barrière pour se faire des amis ». 

Bien que certains craignent que l’interdiction nuise aux jeunes isolés, la majorité voit un bénéfice net : plus d’échanges, moins de distraction. La Commission recommande d’accompagner cette mesure par des ateliers de citoyenneté numérique et de laisser aux communautés scolaires l’ajustement local de l’application.

Recommandation 18

La Commission recommande que le gouvernement du Québec interdise, dès la rentrée scolaire 2025-2026, l’usage des cellulaires, des écouteurs et autres appareils mobiles personnels dans l’ensemble des écoles primaires et secondaires jusqu’à la fin des cours, y compris sur le terrain de l’école, par une directive claire afin d’assurer une mise en œuvre uniforme, sauf lorsque cette utilisation est requise par les modalités d’intervention pédagogique prises par le personnel enseignant, par l’état de santé d’un élève ou par les besoins particuliers d’un élève handicapé ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage. Les modalités d’application seront établies notamment par les instances prévues par la Loi sur l’instruction publique et la Loi sur l’enseignement privé, dans les limites de leurs compétences (l’équipe-école, les élèves et les parents).

La Commission recommande également que le ministère de l’Éducation soutienne les établissements scolaires afin de faciliter la mise en application de l’interdiction totale des écrans personnels, notamment en favorisant davantage l’accès à des activités sans écran et en encourageant des initiatives de sensibilisation auprès des élèves.

Les outils numériques éducatifs

L’usage pédagogique des outils numériques est courant en contexte scolaire. En 2023, l’Académie de la transformation numérique a produit le Portrait des usages du numérique dans les écoles québécoises. Cette enquête révélait que la quasi-totalité des écoles disposait d’une connexion Internet dans toutes les classes. Sur le plan des usages, 67 % des écoles primaires intégraient le numérique dès la maternelle. Il était établi que le personnel enseignant des écoles privées utilisait davantage le numérique que celui des écoles publiques. Dans les écoles privées, 69 % des enseignants et enseignantes utilisaient le numérique en classe en moyenne quatre heures et plus par semaine, alors que cette proportion est de 29 % dans le réseau public.

Les avantages pédagogiques du numérique sont reconnus, notamment en matière d’inclusion et d’autonomie, mais les risques liés au temps d’écran préoccupent. Les élèves, quant à eux, ont des perceptions variées sur l’usage des technologies en classe.

L’encadrement des outils numériques éducatifs

L’encadrement des écrans en milieu scolaire varie considérablement d’un établissement à l’autre, faute de lois ou de règlements uniformes. Cette autonomie laisse place à des pratiques disparates, sans consensus scientifique clair sur les effets des écrans en contexte pédagogique. Peu d’outils numériques sont évalués ou certifiés, et leur évolution rapide complique leur validation. Une majorité du personnel scolaire souhaite limiter leur usage aux fins pédagogiques. 

Recommandation 19

Restreindre l’utilisation des outils numériques en classe à des fins pédagogiques, en s’assurant qu’elle répond à des objectifs éducatifs clairs, notamment en favorisant un équilibre entre les différentes méthodes pédagogiques traditionnelles et numériques. 

Cette recommandation a pour objectif de rallier l’ensemble du système éducatif autour d’une vision commune, tout en préservant l’autonomie des établissements, des organismes et du personnel scolaires.

Les membres de la Commission jugent nécessaire d’établir des lignes directrices claires et fondées sur les meilleures pratiques pour encadrer l’usage des outils numériques en milieu scolaire. Ces outils devraient être utilisés de façon complémentaire, pour des objectifs pédagogiques précis, en apportant une réelle valeur ajoutée à l’enseignement et aux apprentissages.

Recommandation 20  

Élaborer et mettre à jour, avec des acteurs clés, des lignes directrices claires pour l’utilisation pédagogique des outils numériques.

Dans la Stratégie québécoise sur l’utilisation des écrans et la santé des jeunes 2022-2025, la santé publique québécoise lève un drapeau rouge en soulignant les risques de l’usage excessif des écrans pour la santé et le développement des jeunes. Elle insiste sur la prévention et la promotion de saines habitudes de vie.

Recommandation 21 

Créer un cadre de référence afin de soutenir le milieu éducatif dans l’adoption d’une utilisation saine et équilibrée des écrans. Ce cadre pourrait inclure des balises sur le temps d’écran en fonction de l’âge et du stade de développement des jeunes et des normes en matière d’hygiène visuelle, notamment en favorisant des pauses fréquentes, une ergonomie adaptée, un éclairage adéquat, etc.

Les membres de la Commission mentionnent qu’il revient au personnel enseignant de sélectionner les outils de gestion de classe, les approches pédagogiques, les méthodes d’enseignement et le matériel didactique en fonction des besoins des élèves. À ce titre, les décisions relatives à l’usage des outils technologiques à des fins pédagogiques relèvent de leur responsabilité professionnelle, dans le respect des finalités éducatives.

Observation 1

Le jugement et l’autonomie professionnelle des membres du personnel enseignant doivent être respectés en ce qui a trait aux usages permis ou proscrits des outils technologiques éducatifs, en conformité avec les finalités pédagogiques et éducatives.

Solutions numériques

L’intégration des outils numériques éducatifs nécessite des infrastructures fiables et une sélection rigoureuse d’outils pertinents, adaptés aux besoins pédagogiques. Il est essentiel de choisir les appareils, logiciels et applications en fonction d’objectifs ciblés, tout en considérant leur empreinte environnementale et les enjeux liés à la collecte de données par des entreprises privées. 

De plus, le développement de solutions numériques devrait refléter les réalités culturelles et linguistiques du Québec et de la francophonie. Cette approche inclusive est particulièrement importante pour adapter le matériel didactique aux besoins variés des élèves, notamment ceux issus des communautés autochtones. Un écosystème numérique réfléchi est donc indispensable.

Recommandation 22 

Favoriser le développement de solutions numériques en français afin d’offrir des solutions technologiques adaptées aux réalités culturelles et linguistiques du Québec et de la francophonie, tout en encourageant l’innovation locale et la souveraineté numérique.

L’éducation au numérique

L’éducation au numérique, distincte de l’usage des technologies à des fins d’apprentissage, vise à outiller les élèves pour comprendre et maîtriser les technologies qui façonnent leur quotidien. Bien qu’elle soit reconnue comme compétence transversale dans le Programme de formation de l’école québécoise, son enseignement reste inégal, faute de cadre d’évaluation et de progression formalisée. Le Cadre de référence de la compétence numérique, lancé en 2019, propose douze dimensions couvrant les compétences techniques, sociales, cognitives et éthiques. Toutefois, l’absence d’obligation formelle et d’harmonisation à l’échelle du réseau scolaire limite son déploiement, d’où la nécessité de revoir les documents d’encadrement pédagogique.

Recommandation 23 

Harmoniser et mettre à jour le Programme de formation de l’école québécoise (PFEQ), le Cadre de référence de la compétence numérique et la Politique d’évaluation des apprentissages afin d’établir un cadre cohérent pour l’utilisation du numérique à l’école et afin de tracer clairement la voie à suivre pour tous les intervenants du milieu scolaire. De plus, la Commission recommande d’évaluer l’opportunité d’instaurer la compétence numérique comme contenu obligatoire, en attendant son intégration complète dans les programmes du PFEQ appropriés

La littératie numérique repose sur des compétences variées : techniques, informationnelles, socioémotionnelles et critiques. L’école joue un rôle clé dans le développement de ces habiletés pour préparer les élèves à une citoyenneté numérique responsable. Face à l’omniprésence du numérique et des réseaux sociaux, il est essentiel de former les jeunes à évaluer la fiabilité des contenus et à adopter des comportements respectueux en ligne. La prévention du cyberharcèlement passe par des interventions continues et concertées. Deux pistes sont proposées : intégrer la citoyenneté numérique dans le code de vie scolaire et élaborer une stratégie d’information adaptée aux jeunes pour soutenir des usages réfléchis et sécuritaires du numérique.

Recommandation 24

Intégrer la notion de citoyenneté numérique à leur code de vie afin de sensibiliser les élèves à l’impact de leurs actions en ligne et de les encourager à adopter des comportements respectueux, sécuritaires et responsables.

Que cette intégration repose notamment sur les principes suivants :

  • Respect et bienveillance : Encourager des interactions courtoises sur les plateformes numériques, prévenir le cyberharcèlement et favoriser un comportement respectueux envers les pairs et la communauté en ligne.
  • Sécurité numérique : Apprendre aux élèves à protéger leurs informations personnelles, utiliser des mots de passe sécurisés et signaler toute situation suspecte ou menaçante sur le Web.
  • Esprit critique : Développer un regard critique sur l’information en ligne en apprenant à distinguer les sources fiables et à éviter la propagation de fausses nouvelles.
  • Engagement responsable : Encourager une utilisation des outils numériques conforme aux lois et aux règlements de l’établissement, favorisant des échanges constructifs et positifs.
  • Empreinte numérique : Sensibiliser les élèves aux traces laissées en ligne et aux répercussions possibles sur leur réputation et leur avenir.

Recommandation 25

Planifier, à l’intention des jeunes, une stratégie d’information et de sensibilisation à la citoyenneté numérique portant notamment sur l’utilisation saine et constructive des écrans, les risques associés et le développement de leur sens critique face aux contenus en ligne.

L’accès aux outils numériques éducatifs

L’accès aux outils numériques éducatifs demeure un enjeu d’équité, malgré les progrès réalisés en matière d’accessibilité matérielle et de connectivité. Des inégalités géographiques, socioculturelles et d’usage persistent, particulièrement dans les communautés autochtones. Les technologies permettent toutefois de briser l’isolement, d’enrichir l’offre pédagogique et de valoriser les identités culturelles, soutenant ainsi la persévérance scolaire. Certaines écoles mettent en place des politiques internes pour encadrer l’usage des écrans. Pour réduire les écarts numériques, il est recommandé d’offrir une éducation au numérique universelle, combinée à des mesures ciblées de soutien adaptées aux réalités locales.

Recommandation 26 

Prendre en compte l’équité dans les politiques numériques mises en œuvre dans les écoles publiques afin de garantir un accès juste aux outils technologiques pour les jeunes en situation de vulnérabilité ou ayant des besoins particuliers, notamment ceux :

  • vivant avec un handicap;
  • ayant une condition médicale particulière;
  • étant défavorisés sur le plan socioéconomique;
  • évoluant en classes d’accueil; et
  • les jeunes Inuit et des Premières Nations évoluant dans les écoles hors communauté.

Recommandation 27

Mettre à disposition des ressources matérielles et humaines suffisantes pour accompagner les élèves, notamment ceux ayant des besoins particuliers, dans l’utilisation des outils numériques.

Le développement professionnel du personnel scolaire

Pour que les élèves développent leur compétence numérique, il est essentiel que le personnel enseignant soit bien formé, accompagné et soutenu. Cette compétence, inscrite depuis 2020 dans le Référentiel professionnel, inclut des dimensions éthiques, pédagogiques, collaboratives et critiques. Si de nombreuses ressources de formation sont disponibles, plusieurs études montrent que la maîtrise technique seule ne garantit pas une intégration pédagogique efficace. Malgré une formation initiale adéquate, une majorité du personnel scolaire estime ne pas être suffisamment formée à l’utilisation pédagogique des technologies. Il est donc recommandé d’orienter les formations vers une utilisation réfléchie, éthique et pédagogique du numérique.

Recommandation 28 

Garantir l’accès à des contenus sur les usages responsables des écrans dans la formation continue des enseignantes et des enseignants afin de les sensibiliser et de les outiller sur les enjeux, les avantages et les meilleures pratiques en matière d’utilisation pédagogique, créative et éthique des outils numériques.

Recommandation 29 

Intégrer des contenus sur l’utilisation pédagogique des écrans et des ressources numériques dans le parcours universitaire des futurs enseignants et des enseignantes afin qu’ils en comprennent à la fois les enjeux et les avantages.

Le personnel enseignant ne doit pas porter seul la responsabilité du développement de la compétence numérique. La Centrale des syndicats du Québec plaide pour une formation continue élargie à l’ensemble du personnel scolaire afin de favoriser une compréhension critique des technologies numériques. Les technopédagogues et conseillers pédagogiques, notamment ceux du RÉCIT, jouent un rôle majeur en accompagnant les enseignants dans l’intégration du numérique. Le RÉCIT, par ses ateliers et formations, contribue à diffuser les bonnes pratiques à travers le Québec. Il est recommandé que le ministère de l’Éducation soutienne davantage cet organisme, particulièrement face aux enjeux liés à l’essor de l’intelligence artificielle.

Les « écrans récompenses »

Le rapport s’est intéressé à la pratique des « écrans récompenses », soit l’usage récréatif des écrans comme forme de récompense en classe. Il en ressort que, contrairement aux usages pédagogiques perçus positivement, ces usages récréatifs soulèvent des inquiétudes et devraient être limités. Plusieurs intervenants estiment qu’ils contribuent à valoriser excessivement les écrans au détriment d’activités actives ou sociales. Des groupes du milieu scolaire, dont des comités de parents, appellent à offrir plus d’alternatives sans écran, soulignant l’importance de privilégier des expériences concrètes, variées et accessibles pour favoriser l’activité physique et la socialisation.

Recommandation 30 

Éviter l’utilisation des écrans à titre de récompenses dans les établissements primaires et secondaires du Québec, en privilégiant des options favorisant le bien-être des élèves, telles que l’activité physique, la lecture et les interactions sociales.

Recommandation 31

Donner accès à une offre variée d’activités sportives, culturelles, artistiques, scientifiques ou sociales afin de préserver l’équilibre entre l’apprentissage numérique et le bien-être des élèves.

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