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Informatique, éducation, société : réfléchir au problème

Comment enseigner ces compétences propres à l’être humain que les machines acquièrent difficilement?

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Comment enseigner ces compétences propres à l’être humain que les machines acquièrent difficilement?

NOTE

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Dans Alors, on apprend à « coder » ou à « programmer »?, je me suis attardée à définir coder, programmer et pensée informatique. Puis, en accord avec le plaidoyer de monsieur Guillaud, je me suis inquiétée de la difficulté à introduire l’apprentissage de l’informatique aux programmes d’étude actuels et tenté de souligner l’importance de l’apprentissage de ce nouveau sujet.

Je m’intéresse principalement à l’éducation de base : primaire et premier cycle du secondaire au Québec, approximativement les cycles 2 et 3 en France, elementary & middle school aux USA, Key stage 2 & 3 au UK etc.

Les applications de cette science, l’informatique, nouvelle dans le contexte de l’évolution des savoirs et techniques humains, bouleversent indéniablement nos vies, les vies de tous les membres d’équipage de notre vaisseau spatial Terre aux coquets colliers de satellites. Les changements se produisent à une vitesse effarante, un peu comme dévaler une colline à vélo et sentir le pédalier s’emballer.

Au siècle dernier…

…on m’avait assigné la tâche de conseillère pédagogique en sciences au primaire. À cette lointaine époque, on avait décidé de passer de l’apprentissage de ce que l’on nommait au Québec les «connaissances usuelles», équivalent des charmantes leçons de choses enseignées en France, vers l’apprentissage des sciences fondé sur l’investigation. Il y avait des «kits» pour chaque classe, c’est-à-dire des contenants à tiroir avec tout le matériel nécessaire pour réaliser les activités avec les élèves, un guide pédagogique pour les enseignants et des cahiers où les élèves enregistraient les résultats de leurs expériences souvent par des dessins, ou démontraient leur compréhension du sujet en répondant à quelque simple problème. Une partie de mon travail consistait à aller en classe et travailler avec les enseignants. Je menais l’activité avec eux, je les initiais à l’usage de ce matériel et à cette nouvelle pédagogie.

Voici quelques un de mes souvenirs de cet emploi.

La première réaction de quantité d’enseignants a été : « Encore quelque chose de plus à enseigner, comme si je n’avais pas assez de travail ».

Chaque nouvelle leçon débutait par une période de jeux libres, sans temps limite, où les élèves exploraient le matériel seuls ou avec des camarades. Plusieurs enseignants craignaient de perdre le contrôle de leur classe lors de ce type d’activité. Ils manquaient de la confiance en eux qui leur aurait permis de discerner quand la majorité de leurs élèves étaient allés au bout de ce qu’ils pouvaient découvrir par eux-mêmes et qu’il était temps d’intervenir pour les guider vers l’étape suivante. Je me souviens de tenter d’aider les enseignants à percevoir ce moment. Pour plusieurs, cet aspect « découverte » et « jeu libre » était une perte de temps.

À quoi sert de comparer la croissance d’un haricot semé dans du sable humide avec un haricot semé dans le sable où un minuscule guppy s’était décomposé et auquel on ajoutait parfois les déchets noirâtres accumulés au fond des aquariums? Quelle perte de temps s’écriait-on dans nos campagnes! Je suis l’adulte, je détiens le savoir à transmettre. L’élève est dans ma classe pour étudier, surtout pas pour jouer!

Sept ans plus tard, le matériel abimé ne fut pas remplacé. Les élèves étudiaient désormais dans de beaux cahiers et mémorisaient le cycle de la matière dans la nature à partir de magnifiques schémas couleur.

Certains se souviennent des premières aventures d’initiation à la programmation avec le langage LOGO et sa tortue. Peu d’écoles y ont échappé. Le mouvement a duré moins de 10 ans lui aussi.

Forte de cette expérience, j’avance qu’imposer l’apprentissage de l’informatique et en forcer l’intégration au calendrier scolaire actuel est voué à l’échec. Il faut concevoir une autre approche!

Quelques constats

Les observations suivantes ne sont pas le résultat d’une recherche quantitative mais plutôt d’une observation participante où je suis semi active.

Il y a d’importants investissements financiers : achats d’ordinateurs, portables, tablettes, robots, etc. Il y a certains problèmes relatifs à la lenteur des connexions, à la faiblesse des débits internes ainsi qu’à la restriction de l’accès à certains réseaux sociaux ou à certaines applications par les administrations. Plusieurs parents se plaignent de l’usage des tablettes où selon eux leurs enfants passent plus de temps à jouer qu’à étudier. Quantité d’enseignants refusent que leurs élèves utilisent leurs téléphones comme outil de recherche sur Internet ou craignent qu’ils utilisent ces appareils pour les enregistrer, photographier ou filmer.

En contre partie, quantité d’enseignants audacieux et passionnés utilisent avec grande créativité les réseaux sociaux et intègrent multiples applications à leur enseignement. Leur travail est remarquable. Je pourrais facilement tirer quantité d’exemples à partir des publications d’École branchée, Ludomag ou Éducavox, entre autres. L’informatique est aussi grandement utilisée pour la gestion des classes et la communication avec les parents.

Au Québec, le RÉCIT (Réseau pour le développement des compétences des élèves par l’intégration des technologies) soutenu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) regroupe environ 120 personnes ressources réparties dans divers services locaux en vue de favoriser la formation par les pairs et le partage d’expertise.

En Ontario francophone, le CFORP (Centre franco-ontarien de ressources pédagogiques) qui offre ses services aux autres communautés francophones canadiennes dispose d’un service d’appui technologique grâce à l’expertise de passionnés conseillers pédagogiques.

Au Canada Atlantique, les Brillant Labs/Labos créatifs affirment que tous les élèves ne seront pas des programmeurs ou des informaticiens, mais croient par contre que les compétences issues de l’apprentissage de la programmation facilitent la prise en main de leur apprentissage par les élèves.

En France, CANOPÉ multiplie les interventions. Les ateliers, plus de 100 sympathiques lieux d’accueil, sont présents dans chaque Académie. Le CRÉATHON, 12 heures non-stop où des équipes de 3 à 5 personnes participent à un concours d’innovation numérique et pédagogique.

Mathodor Classe, destiné aux enseignants du CE2 à la 3ème, des comptes élèves, un accès illimité aux nouveaux jeux, un concours de calcul mental, etc. sont des exemples de l’implication de cet énergique réseau.

Le REFER, l’AQUOPS, Le Sommet du iPad, Les Tablettistes, Les rencontres de l’Orme, l’Université d’été Ludovia, le Carnaval numérique, Même pas peur de L’An@é, pour ne nommer que quelques unes de ces manifestions centrées sur l’informatique et l’usage pédagogique de l’ordinateur, témoignent comment années après années, enseignants et éducateurs travaillent à partager leurs connaissances et à faire avancer le domaine.

On peut donc appuyer le développement de l’apprentissage de l’informatique dans les écoles sur une solide base d’organismes et d’enseignants dynamiques, enthousiastes et créatifs.

Un changement culturel

Internet, cette révolution technologique, bouleverse. Ce que l’école nous appris ou ne nous a pas appris ne semble plus tenir. Le web et les réseaux sociaux se chargent non seulement de nous informer mais nous permettent également de participer à la construction de cette information. Non seulement nous avons ces 15 minutes de gloire promises par Warhol, mais tous et chacun, avons le pouvoir de prendre part à la discussion, de produire l’information, parfois pour le meilleur, parfois pour le pire.

Nos façons de travailler et d’apprendre sont transformées. Nos récentes habitudes de consommation «en ligne» par internet, dérèglent le commerce local.

Des ordinateurs de plus en plus puissants et la croissance inflationniste des capacités de stockage permettent de conserver et de traiter de phénoménales quantités de données, le fameux Big data ou mégadonnées. Les informations tirées du traitement de ces mégadonnées au moyen de complexes algorithmes dépassent le domaine de la statistique descriptive des marchands d’assurances. Tous les domaines des activités humaines sont touchés par ces inférences : de la météorologie à la bourse, à la médecine et évidemment l’éducation n’y manque pas. Le célèbre classement des 138 facteurs d’influence pour la réussite scolaire de Hattie résulte d’une recherche de ce type. Ces informations sont utiles, encore faut-il considérer que les champs de recherche des 50 000 études individuelles analysées teintent les résultats. Ces méta-analyses en éducation, en psychologie ou autres domaines de nature sociologique ne doivent pas être prises pour le Graal.

Il faut donc chercher à apprendre aux jeunes générations, les décideurs de demain, à savoir jeter un regard critique sur les fantastiques résultats des analyses informatiques, savoir comprendre les algorithmes.

Et l’intelligence artificielle, le grand sujet du jour!

Montréal se décrit comme plaque tournante de l’intelligence artificielle (IA) On y entend régulièrement parler cette technologie, fille des mégadonnées et de machiavéliques algorithmes, diront certains, une technologie encore au printemps de son développement. Plusieurs y voient une boîte de Pandore, d’autres y voient leur fortune. Disparition de 50 % des emplois actuels d’ici 15 ans environ et Claire Cain Miller, le 3 mai 2017, demande dans le New York Times comment former nos élèves pour faire face à ces changements. Comment enseigner ces compétences propres à l’être humain que les machines acquièrent difficilement?

L’emploi

Face à cette crainte justifiée de la perte d’emplois suite à la numérisation de certaines tâches, voilà la question que je me pose. De tous temps ou presque il y a eu des employés et des travailleurs autonomes. Cependant, c’est au moment ou les systèmes artisanaux de production ont été remplacés par l’industrialisation que la notion d’employabilité a pris le sens qu’on lui connaît aujourd’hui, c’est-à-dire gagner sa vie en travaillant au service d’un employeur. Et c’est cette «archaïque» définition qui est considérée lorsqu’on réfléchi à «former les générations montantes pour les emplois du futur» au moment des discussions sur la refonte de l’éducation. Nous réfléchissions à l’école du futur avec une définition du travail issue de l’ère industrielle.

J’observe la société et j’y vois des « startups », des espaces collaboratifs de travail, des fab labs, et autres entreprises novatrices. Je constate plusieurs enseignants, écoles, collèges et maints regroupements offrir aux élèves et collègues des lieux de création et des activités de type hackathon. J’y lis une partielle réponse à la question des emplois de demain. Je ne fais pas de politique mais je pense qu’un revenu universel de base supporterait ces travailleurs de la créativité sans qu’ils aient à passer des heures à compléter quantité de formulaires de demandes de subventions. Peut-être, selon monsieur Laurent Alexandre, je suis une de ces « idiots utiles et suicidaires ». Je crois qu’avec une éducation holistique et non compétitive la plupart des citoyens n’utiliseraient pas leur semi liberté financière à des jeux et du cirque.

Le transhumanisme?

J’utilise mon petit Fitbit quand je veux, mais je ne tiens par à avoir «une puce» sous la peau qui informe mon médecin, pour mon bien?, de chaque verre de vin que je consomme ou qui m’envoie un petit choc électrique lorsque je mange un gâteau. Pourquoi écrire par ma pensée quand Dragon dictate le fait déjà par ma voix. D’accord pour un nouveau genou quand le mien me lâchera mais je ne veux pas qu’on analyse les deux millions de mutations du code génétique de mes petits enfants pour apprendre à leurs parents que le petit risque peut-être un cancer un jour ou quelque maladie orpheline et pourquoi ne pas considérer immédiatement la stérilisation.

Je suis réticente! J’y perçois un inquiétant eugénisme. J’aime la vie mais je ne veux pas vivre éternellement. À un certain moment on a fait le tour du jardin. J’aime bien mon petit côté kitsch, naïve, mes imperfections et celles des autres m’amusent, me distraient de la grisaille quotidienne. Je préfère la diversité d’apparence désordonnée d’un écosystème forestier à toute plantation d’arbres en rangée. Les monocultures ont leur place, mais ce sont les écosystèmes naturels qui assurent leur vitalité.

Edgar Morin dans son entrevue donnée à Fabien Deglise ne dit-il pas : « Le rêve d’une société humaine totalement automatisée sous la loi de l’algorithme conduirait non au surhumain mais à l’inhumain »

Comme éducatrice et être humain, je préfère garder la portion «humanisme» du terme «transhumanisme» et voir dans le préfixe «trans» une traversée vers une société souriante et détendue qui, telle un heureux retraité, profite enfin de toutes ces merveilles inventées par l’être humain que des milliers d’années d’étude de son environnement et de création technologique lui ont permis d’acquérir. Nous avons tout pour être heureux, pourquoi ne le sommes nous pas?

Et demain

Il faut former des élèves qui deviendront des étudiants capables d’être acteurs au sein de ces évolutions technologiques. Je ne vois pas de grands problèmes pour travailler à l’atteinte de ces objectifs. C’est ce à quoi s’affairent avec brio nos universités et centres de recherche. C’est cette pointe de l’iceberg dont en entend constamment parler. Pour ces élèves, futurs étudiants du domaine technologique avancé, ce n’est pas de leur savoir scientifique et informatique dont il faut se préoccuper, mais de leur vision humaniste et de leur éthique. Alain Benssoussan au Forum Changer d’Ère dit Il est temps de définir une interdiction pour les codeurs de coder des éléments qui sont contraire aux libertés. Il y a un devoir d’alerter. Le codeur n’est pas neutre… L’algorithme n’est pas encore fait par des robots. La nature et les connaissances sont neutres, c’est l’usage qu’en l’être humain qui est faste ou néfaste. Alexandra Yeh écrit : les algorithmes, comme toute technologie, ne sont pas intrinsèquement bons ou mauvais : leur influence dépend avant tout de l’usage que l’on en fait. Saurons-nous apprendre à ces brillants élèves à résister aux sirènes de l’appât du gain?

Et il y a les nombreux autres, la partie immergée de l’iceberg, les faibles en math et les poètes qui ont oublié d’apprendre à écrire, que faut-il leur enseigner, quelle éducation faut-il leur offrir, de quoi dont-on les instruire?

On connaît peu les conséquences de la transmission ultra-rapide des images et des idées sur les individus et les sociétés et encore moins les schismes qu’elle produit. Ces mutations composent les balbutiements d’une culture naissante, la première partagée par l’humanité entière, la culture numérique.

Seymour Papert écrivait :

[…] le rôle que j’attribue à l’ordinateur est celui de porteur de «semences», de «germes» culturels, dont les produits n’auront pas besoin de support technique une fois enracinés dans un esprit en croissance active.

(Jaillisement de l’esprit, p.20, Champs-Flammarion/210, trad. Rose-Marie Vassallo-Villaneau, 1981)

Nous sommes les créateurs de ces technologies, pourquoi les laisserions nous mener? Dépasser l’enseignement de la programmation et insuffler une pensée informatique à nos élèves est essentiel. Changer la culture de l’école demande toutefois à la fois un renouvellement des approches pédagogiques et de la structure des programmes d’études.

[…] apprendre à communiquer avec un ordinateur a toutes les chances de modifier la façon dont se déroulent les autres apprentissages.

(Jaillisement de l’esprit, p.16, Champs-Flammarion/210, trad. Rose-Marie Vassallo-Villaneau, 1981) selon Seymour Papert.

Et pour François Taddéi, cité par Jennifer Elbaz dans son compte-rendu du Forum Changer d’Ère du 24 avril dernier, il faut …repenser la formation scolaire …il faut refondre totalement la pédagogie

La suite de cette réflexion sur le numérique et l’éducation sera : Repenser la formation scolaire.

 

Notes et références consultées entre le 1er et 15 mai 2017

“Il n’y a pas de passagers sur le vaisseau spatial Terre. Nous sommes tous l’équipage.”

Marshall McLuhan

 

Données probantes : http://rire.ctreq.qc.ca/2016/09/donnees-probantes-dt/

Seymour Papert (1928-2016) est un éducateur et un informaticien. Il est reconnu pour sa réflexion sur l’impact de l’informatique en éducation. Il a participé de près à la création du langage de programmation Logo, aux ensembles de robotique Lego Mindstorm et du projet One Laptop per Child dont le but est de distribuer des portables dans les pays en voie de développement. Il est aussi un des pionniers de l’intelligence artificielle.

Crédit photo : Pixabay

 

 

À propos de l'auteur

Ninon Louise Lepage
Ninon Louise Lepage
Ninon Louise LePage est pédagogue et muséologue récemment sortie d’une retraite prématurée pour renaître comme désigner pédagogique. Elle a enseigné à l'Université du Québec à Montréal et à l'Université de Sherbrooke en didactique des sciences, en plus de travailler au Réseau canadien d'information sur le patrimoine comme expert-conseil en muséologie. Elle écrit également pour nos amis français chez Ludomag. Elle invite par ailleurs tous les intéressés à la contacter afin qu’elle parle de vous, vos élèves, votre école et vos expériences particulières en éducation au numérique et à l’informatique.

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